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Problèmes et faiblesse de l'économie Algérienne

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Message  Admin Dim 30 Oct - 13:55

L'économie Algérienne (comme toute économie au monde) a ses problèmes. Cependant le marché reste très lucratif et un bon entrepreneur/ gestionnaire / investisseur est celui qui s'adapte aux difficulté des situations.
Essayons de citez ces problème objectivement.

-Bureaucratie: Ouvrir une entreprise en Algérie est un parcours du combattant en terme de paperasse et de va et viens entre les différents bureaux et services. Au lieu de se concentrer sur son travail, son projet, son innovation, sa spécialité... L'entrepreneur (ou l'investisseur) a comme souci supplémentaire les documents et dossiers à fournir. L'administration et les différents services publiques sont devenu le premier frein au développement de la nation au même titre qu'un "terroriste". Le mot est peut être fort? La perte que cette incompétence engendre na pas de qualificatif!

-Mauvaise gestion du foncier: dans le 10 ième plus grand (ou plus vaste) pays au monde et l'un des moins densément peuplé; on arrive à manqué de foncier industriel. Il y a une demande qui se concentre dans les grande villes (Alger, Oran...) qui n'est pas satisfaite. D'un autre coté il y a du foncier industriel appartenant à des entreprises publique dissoute abandonné. Des villes a l'intérieur, dans les haut plateaux et au sud où le foncier ne fait qu'attendre... Pourquoi l'état ne construit pas des grandes zones industrielle dans les ville les plus dense et où la demande est la plus grande? Et vue que malgré l’existence de certains avantages pour les investisseur dans les haut-plateaux et le sud, les investisseurs ne se bouscule pas... pourquoi ne pas augmenter encore ces avantages?

Manque de ressources humaines compétentes: du fait de la mentalité de l'assistanat hérité des choix politiques du passé, le diplômé algérien (en général) est limité et a peur de l'initiative et de l'innovation. Vue l'économie qui n'est pas très développé on manque de ressources humaines ayant une grande expérience dans des domaines technologiquement pointus où qui demande un grand effort de gestion (ayant un minimum de standards de qualité). De l'autre bout de la chaine, on a beaucoup de citoyens n'ayant aucune qualification, aucun diplôme et aucune expérience. Nous avons 6,5 millions d’analphabètes qui représente 1/5 de la population, soit 19% des algériens.

Cadre réglementaire et juridique médiocre: beaucoup sont dépassé, ou rigide, ou carrément inapplicable et parfois inexistant. Ajouté a ça une instabilité juridique qui résulte du fait que le gouvernement s'est lancé dans une course pour améliorer ce cadre légal... Sauf que quand le nombre de fois qu'une lois est changé est important... ça deviens une instabilité juridique.

L'informel: une grande partie de l'économie (parfois estimé a 40%) est en noire. Elle est su et toléré par les autorités à l'exemple du marché des devises du square, pas loin d'un autre marché d'or, tout les deux illégales. Des petits passeurs de cabas de téléphones portables ou de vêtement, aux grands barons de l'import-import ... sans oublié les traficants aux frontières l'état semble impuissante face à eux. Elle montre sa puissance bureaucratique face aux investisseurs productifs.

La corruption, le beni3emis...


Dans ce topic, pour ne pas verser dans les généralités; je vous demanderai de se concentré sur des cas particuliers et ponctuels précis.

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Message  Admin Dim 30 Oct - 13:57


اتهمهما بعرقلة مشاريع الاستثمار
ربراب يفتح النار على تو وتمار

30-10-2011 عنابة: ش. نبيل

قال رئيس مجمع سيفيتال، اسعد ربراب، إن رئيس الجمهورية يعاني من نظام معرقل لمسار التنمية، مستشهدا بفشل سياسة الخوصصة التي أرجعها إلى تسليم دواليب تسييره لأشخاص يقفون ضد قرار الخوصصة، خدمة وحماية لمصالحهم الشخصية.

ذكر ربراب، أمس، خلال المحاضرة التي ألقاها أمام أساتذة وطلبة المدرسة التحضيرية للعلوم الاقتصادية والتجارية بعنابة، التي تحمل عنوان ''في الجزائر يمكن النجاح''، أن فشل ملف الخوصصة في الجزائر يرجع إلى رفض الجهات المسؤولة عن الملف وضعه في السكة السليمة، إذ من غير المعقول، حسبه، أن يعرقل مسؤول كبير في وزارة مساهمات الدولة مسار الخوصصة في الجزائر، بسبب مخاوفه من ضياع مصلحته ومنصب عمله، في حال التنازل عن جميع مؤسسات الدولة المفلسة والعاجزة لفائدة الخواص.

واستدل ربراب بالعراقيل التي واجهته في الفترة الأخيرة، عندما تقدم إلى الحكومة بطلب الحصول على أصول مؤسستين عموميتين مفلستين، حيث قوبل طلبه بالرفض، على الرغم من أن الحكومة وضعت هاتين المؤسستين ضمن قائمة المؤسسات المفلسة، مضيفا أن المشرفين على ملف الخوصصة سارعوا إلى وضع الحواجز والعوائق في وجه مجمع سيفيتال، بداية بضخ أموال الدعم والتقليص في عدد العمال بالمؤسستين. إلا أن النتائج كانت مخيبة، حيث سرعان ما أعلن إفلاسهما في فترة قصيرة.

واتهم المتحدث بعض الوزارات بعرقلة الاستثمار الخاص، مشيرا إلى أن من بين ضحاياه مجمع سيفيتال، حيث لا تزال 9 مشاريع ضخمة حبيسة أدراج الوزارات المعنية منذ سنة 2008 بحجة غياب النصوص التطبيقية، ونقص العقار وتأخر الحصول على الرخص القانونية، على غرار تعطل انطلاق مشاريع إنجاز 3 مصانع لإنتاج الإسمنت، بسبب فرض الوزارة المعنية فتح رأس مال الشركات للاستثمار العمومية، إضافة إلى مشروعي قطب الطاقة الشمسية بالصحراء الكبرى ومشروع ميناء كاب جنات، هذا الأخير الذي اعتبره رئيس مجمع سيفيتال مفخرة الدولة الجزائرية، على اعتبار أن إنجازه سيقضي نهائيا على مشكل الاكتظاظ وغياب أرصفة الرسو في الموانئ التجارية في الجزائر، كونه سيتربع على مساحة رسو تصل 5 آلاف هكتار، وقدرة على التوسع على مسافة 20 كيلومترا في مياه البحر، وبطاقة استيعاب للمركبات تقدر بـ350 ألف مركبة سنويا، وخلق ما يقارب مليون منصب شغل و1000 مؤسسة صغيرة ومتوسطة في محيط الميناء.

واتهم ربراب بعض الوزراء بعرقلة نشاط مؤسساته على مستوى بعض الموانئ، مما استدعى تقديم شكاوى إلى رئيس الجمهورية والحكومة ضد وزير النقل عمار تو، جراء رفضه التدخل والرد في وقت سابق على 20 مراسلة كتابية و20 طلب مقابلة من أجل تسوية مشكل الخسائر التي تكبدها المجمع على مستوى ميناء بجاية، جراء تأخر ورفض عمال الميناء شحن البضائع لمدة 23 يوما، ما كلف المجمع خسارة فاقت 3,2 مليون دولار، تم تسديدها كمستحقات التأخر عن تلبية الطلب وأتعاب صاحب الباخرة.
http://www.elkhabar.com/ar/economie/269552.html

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Message  Admin Dim 30 Oct - 14:02


Économie Algérienne : «l’informel, c’est 50% de l’économie nationale»
le soir d'Algérie Mardi 13 octobre à 8:08

L’économie informelle serait-elle un mal nécessaire à l’économie formelle ? Pour le Dr Deborah Harrold, professeur au Bryn Mawr Collège (Colombia), rien n’est plus vrai, notamment en ce qu’elle agit en facteur de stabilité. En Algérie, l’économie informelle représente les 50 % de la taille de l’économie nationale, selon cette spécialiste américaine.
Sofiane Aït-Iflis Alger (Le Soir)- Il faut dire que même si elle s’est intéressée de près à l’économie algérienne pour y avoir consacré sa thèse de doctorat soutenue en 1999, l’invitée, hier, du Centre des études stratégiques du journal Echaâb n’a pas fait cas de conclusions propres. Ainsi, c’est à l’économiste Ahmed Hani qu’elle a emprunté, en le soulignant, bien sûr, la statistique relative à l’importance de l’économie informelle en Algérie.
La proportion est qualifiée d’énorme. Mais comment se peut-il qu’une économie informelle rende service à l’économie formelle tout en coûtant cher à l’Etat ? Le Dr Harrold distingue entre l’économie clandestine, souvent prohibée, et l’économie informelle. «L’informel peut constituer un facteur de stabilité, en ce sens il peut s’avérer nécessaire.» Le professeur américain, spécialiste de l’économie algérienne, est convaincu que l’économie informelle ne constitue une menace que lorsqu’elle prolifère pendant que le niveau de vie connaît une chute drastique.
En guise d’illustration, même anecdotique, à cette appréciation plutôt positive de l’existence de l’économie informelle, le Dr Harrold avoue son étonnement devant le marché informel de la devise qui prospère au vu et au su de tout le monde. «C’est frappant de le voir se faire au vu et au su de tout le monde ; c’est un vrai réseau économique. C’est une activité quelque peu permise par l’Etat.
D’ailleurs, je n’ai jamais saisi la logique de l’Etat qui permet cela. Peut-être le fait-il pour les besoins de liquidité sur le marché ?» De ce qu’elle a constaté, le Dr Harrold conclut «à une sécurisation du marché informel de la devise». Analysant le modèle économique national, la conférencière a estimé que l’Algérie évolue toujours sur un modèle d’économie rentière, en dépit des efforts accomplis pour la modernisation. Une analyse que ne partage pas Belayat, désormais un habitué des forums du journal Echaâb. Pour lui, l’économie rentière est un concept chargé de trop de compréhensions péjoratives.
L’Algérie, dit-il, exporte les hydrocarbures mais n’est pas un Etat rentier. Car, selon lui, on est dans une économie de rente lorsqu’on se limite à vivre de la rente sans consentir d’efforts à la développer. Voilà qui mérite débat. Sériant, par ailleurs, les aspects de l’économie nationale, l’économiste américaine a indiqué que le système bancaire algérien reste ambigu. Elle a noté aussi la contribution conséquente du courant islamiste dans le commerce.
http://www.algerie360.com/algerie/economie-algerienne-%C2%ABlinformel-cest-50-de-leconomie-nationale%C2%BB

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Message  Admin Lun 31 Oct - 13:38


La piste du thon rouge semble être définitivement abandonnée par l'Algérie pour la saison de pêche 2011. Le ministre chargé de la pêche Abdallah Khanafou, a indiqué samedi que la pêche aux thonidés n'intéresse pas l'Algérie pour le moment, car n'étant ''pas une priorité''. Pour l'année prochaine, il compte sur les italiens!

Le ministre algérien de la pêche a affirmé que pour la saison 2011, l'Algérie ne va pas se battre pour récupérer son quota de thon rouge. Sur les 680 tonnes attribuées annuellement à l'Algérie, l'ICCAT (commission internationale pour la conservation des thonidés de l’Atlantique) n'en a donné que 138 tonnes lors de sa réunion de novembre 2010 à l'Algérie, redistribuant le reste du quota algérien à quatre pays (Libye, Egypte, Maroc et Croatie).
http://maghrebemergent.info/economie/63-algerie/5973-lalgerie-abandonne-la-piste-du-thon-rouge.html

Il a pu trouvé l'incompétence et la bêtise de faire perdre à l'Algérie son cota de thon rouge, mais pas la dignité de démissionner... au contraire il ose affirmer que notre cota de thon rouge ne nous intéresse pas. Et les pécheurs n'ont pas trouvé le courage de porter plainte contre lui pour avoir donner leurs gagne-pain aux autres pays (Maroc, Egypte, Libye..)

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Message  Admin Mar 1 Nov - 15:30


Marché parallèle/marché officiel : Le grand écart !

L’écart entre le taux de change officiel du dinar face à l’euro et celui observé sur le marché noir s’est creusé d’une manière telle que la différence se chiffre aujourd’hui à 40% voire 45%.

Si on ne devait prendre que les 12 derniers mois, on remarquerait que les cours ont été assez fluctuants sur les deux marchés, à mesure que la monnaie unique se débattait avec la crise de la zone euro. Sur le marché officiel par exemple, l’euro ne coûtait que 98,3 DA en janvier 2011, alors qu’il a atteint pendant le mois d’août dernier 103,9 DA.
Sur le marché parallèle, en revanche il avait déjà entamé l’année à 130 DA pour un euro et atteint son pic il y a quelques jours à 146 DA.Pour expliquer cet écart, les experts mettent en avant un certain nombre de facteurs devenus chroniques.

Interrogé sur la question par El Watan Economie, l’économiste Abderrahmane Mebtoul évoque 4 raisons à ce phénomène, à savoir l’importance de la sphère informelle qui contrôle 40% de la masse monétaire en circulation ; l’existence encore et toujours des importations informelles qu’on appelle communément «le cabas» ; la distorsion entre l’offre et la demande en raison du rétrécissement de l’épargne des émigrés et enfin, «une psychose» vis-à-vis de l’avenir du pays, avec «certainement une fuite de capitaux assez massive vers l’étranger». Selon lui, «beaucoup d’Algériens sont en train d’acheter des biens à l’étranger, notamment dans la région parisienne».

A cela, il faut également ajouter le fait que des opérateurs économiques continuent à avoir recours au marché noir pour l’importation de pièces de rechange de l’étranger. Le gouvernement a certes relevé à 4 millions de dinars la possibilité du recours au paiement libre pour les importations urgentes de matières premières ou pièces de rechange, mais cela reste insuffisant.
http://www.elwatan.com/economie/marche-parallele-marche-officiel-le-grand-ecart-31-10-2011-145563_111.php

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Message  Admin Mar 1 Nov - 15:39

L'Algérie fait fuire les invesstisseur
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Message  Admin Sam 3 Déc - 13:17

Un rapport de Transparency International classe l’Algérie à la 112e place
Haut niveau de corruption au sein des institutions de l’Etat


le 03.12.11

L’Algérie, accoutumée aux mauvais classements dans les rapports internationaux, ne déroge pas à sa réputation.

Le rapport de l’organisation Transparency International, publié le 1er décembre, la classe, sans surprise, en 112e position sur un total de 182 pays. Avec un indice de perception de la corruption de 2,9 sur une échelle de 10, le pays a perdu 7 places en une année. Une note d’autant plus alarmante qu’elle atteste, selon les mesures de l’organisation internationale, d’un haut niveau de corruption au sein des institutions de l’Etat.L’Algérie est à la traîne, y compris dans le Monde arabe. Les pays du Golfe se joignent au club des pays les plus transparents, à l’exemple du Qatar (22e place), des Emirats arabes unis (28e), du Bahreïn (46e), Oman (50e) et le Koweït (54e). Elle est également mauvaise élève en comparaison avec les autres pays du Maghreb, comme le Maroc (80e) et la Tunisie (73e).
Par rapport aux pays africains, l’Algérie fait mieux que le Mali, la République du Congo et le Nigeria, mais elle est tout de même derrière le Malawi, la Zambie et le Lesotho.

L’Association algérienne de lutte contre la corruption (AACC), présidée par Belkacem Hadjadj, précise, dans un communiqué, que l’Algérie a fait l’objet de sept enquêtes et études d’organisations internationales indépendantes, qui convergent toutes vers les mêmes résultats.«L’indice 2011 note 183 pays et territoires de 0 (extrêmement corrompu) à 10 (extrêmement intègre) selon les niveaux de corruption perçus dans le secteur public. Il utilise les données de 17 enquêtes portant sur des facteurs tels que l’application des lois anticorruption, l’accès à l’information et les conflits d’intérêts», est-il expliqué, précisant que ces mauvais résultats de l’Algérie, pour la neuvième année consécutive, ne sont pas une surprise. «Ces dernières années ayant été marquées non seulement par une explosion des affaires de grande corruption, mais aussi par une totale absence de volonté politique du pouvoir à lutter contre la corruption», rappelle l’association.

Le communiqué de l’AACC indique qu’avant le Printemps arabe, un rapport de Transparency International portant sur la région Moyen-Orient-Maghreb soulignait que le népotisme, les pots-de-vin et le clientélisme étaient si profondément ancrés dans la vie quotidienne que même si des lois anticorruption étaient en place, elles n’avaient que peu d’effet, surtout lorsqu’elles sont de très mauvaise qualité et ne sont pas du tout appliquées, comme c’est le cas en Algérie. Et d’asséner : «Le pouvoir algérien ne fait pas uniquement semblant de lutter contre la corruption – ce qui ne trompe plus personne –, il s’acharne surtout à combattre les organisations et les militants politiques et associatifs qui dénoncent la corruption et essaient de multiplier les initiatives pour la contrer.»
Il est à noter, enfin, que le pays le plus vertueux au monde serait, selon le classement de Transparency International, la Nouvelle-Zélande, suivie de près par les pays scandinaves, Singapour et l’Australie.
Amel Blidi
http://www.elwatan.com/actualite/haut-niveau-de-corruption-au-sein-des-institutions-de-l-etat-03-12-2011-149539_109.php

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Message  Admin Lun 9 Jan - 14:55

Zaim Bensaci, président du Conseil national consultatif pour la promotion de la PME
"La bureaucratie bloque la mise à niveau des entreprises"
Merouane Mokdad



« Bête, sale et méchante ». Des épithètes qui, selon Zaïm Bensaci, président du Conseil national consultatif pour la promotion de la PME, s’appliquent à la bureaucratie algérienne. « Cette bureaucratie est en train de bloquer systématiquement le programme national de mise à niveau des entreprises. Ce n’est pas la faute du ministère de l’Industrie, de la Petite et moyenne entreprise et de la Promotion des investissements. Je parle d’un ministère régalien. S’ils écoutent, ils se reconnaîtront. Tout ce que je sais, c’est que nous n’avons pas avancé », a‑t‑il déclaré lundi sur les ondes de la chaîne III de la radio nationale.


D’après M. Bensaci, le chiffre officiel de 20 000 entreprises à mettre à niveau n’est qu’un objectif. Uniquement 955 entreprises ont été retenues à la faveur de ce programme dont des TPE (Très petites entreprises) qui, à ses dires, n’ont pas réellement besoin de mise à niveau mais d’un accompagnement technique et de formation. « Nous avons l’impression que la mise à niveau des entreprises n’existe que dans les statistiques. On parle de 20 000 entreprises. Si nous réalisons le chiffre de 1 000, c’est déjà très bien », a‑t‑il appuyé. Selon lui, 30 000 TPE ont disparu en 2011 en raison, entre autres, d’un manque de formation, de faiblesses liées à la gestion et de la peur de prendre des risques. « Il faut combattre ce taux de mortalité élevé si l’on veut promouvoir réellement les PME. Il faut prendre en charge et former les jeunes universitaires qui lancent des projets, leur donner cet amour d’être un chef d’entreprise », a‑t‑il conseillé. (...)

http://www.tsa-algerie.com/economie-et-business/la-bureaucratie-bloque-la-mise-a-niveau-des-entreprises_18900.html

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Message  Admin Jeu 19 Jan - 16:39

L’organisation se plaint de la rareté et de la cherté du foncier industriel
Les propositions du FCE pour "la reconstruction" du code de l’investissement
(par Merouane Mokdad)

Le Forum des chefs d’entreprise (FCE) appelle à "reconstruire" le code de l’investissement algérien. « Ce code n’a pas été complètement vidé de sa substance mais il a subi d’innombrables retouches et modifications, parfois lourdes, en 2006 et en 2009, rendues nécessaires par des dérives. Nous avons abouti aujourd’hui à un code éclaté qui a perdu de sa cohérence et de sa visibilité », a déclaré sur les ondes de la chaîne III de la radio nationale, ce jeudi 19 janvier, Abdessamed Salah Eddine, membre du conseil exécutif de l’organisation patronale. Le FCE propose de reconstruire ce code autour de trois grands axes.

« Nous proposons une reconstruction de ce code. Cela doit se faire autour de principes relatifs à la régulation de l’investissement étranger, de la restauration des garanties et des protections et d’un encouragement plus ciblé de l’investissement. Il faut un cadre législatif clair, connu de tous », a-t-il dit.

M. Abdessamed a estimé que tous les dispositifs relatifs à l’investissement doivent être unifiés et réunis en un seul instrument juridique. « Cela peut se faire en éliminant certaines contradictions qui nous paraissent importantes et qui sont d’ordre technique (…) Pour nous, le Crédit documentaire reste un moyen de paiement. Ce n’est pas un moyen de régulation de l’économie (…) La récente dévaluation du dinar va rendre plus chers les inputs pour les industriels », a-t-il prévenu. Le représentant du FCE a qualifié de trop rigide de la règle du 51/49 (51 % pour le partenaire algérien et 49 % pour l’étranger).

« Si cette règle est dynamisée, elle peut apporter beaucoup de choses positives à l’économie nationale. L’État doit définir les domaines et les secteurs stratégiques qu’il veut soutenir. On peut aller de 0 à 100 %. On peut imaginer une libération à 100 % pour les étrangers des investissements touristiques. Cela apporte, outre l’investissement, des emplois. Par ailleurs, on peut refuser des projets dans l’industrie du plastique puisque le secteur est saturé en Algérie, sinon on donne 1 % au capital étranger dans ce domaine », a-t-il proposé.

Selon M. Abdessamed, les pouvoirs publics peuvent garder la faculté de filtrer les investissements entrant dans le territoire national. Le foncier est, d’après lui, une cause du blocage d’investissements en Algérie. « Le FCE a toujours revendiqué le traitement de cette question, ce point noir. Il n’y a pas encore d’unification du dispositif sur l’ensemble du territoire national. Il y a encore des problématiques », a-t-il noté. Il a indiqué que des membres du FCE se plaignent encore au niveau du Comité d'assistance à la localisation et à la promotion des investissements et de la régulation du foncier (Calpiref). Pour lui, les choses sont plus claires au niveau de l’Agence nationale d'intermédiation et de régulation foncière (Aniref). « L’opération de concession n’a toujours pas démarré sur l’ensemble du pays. Beaucoup d’investisseurs sont en attente de réponse de la part du Calpiref et des autorités locales sur l’attribution d’assiettes », a-t-il précisé.

Le FCE s’est plaint, par ailleurs, du prix très élevé du foncier qui constitue, à lui seul, 30 % du coût d’investissement. « Aujourd’hui, le poids du foncier dans l’investissement est le double, voire le triple, comparé à des pays de la rive sud de la Méditerranée », a-t-il souligné. Abdessamed Salah Eddine a reproché aux investisseurs d’être toujours proches des grandes villes et des aéroports. « Le pays a investi énormément sur les voies d’accès et les autoroutes. Les gens peuvent aller plus loin. Malheureusement, les ressources humaines sont présentes d’une manière qualitative dans les grands centres, pas dans l’arrière-pays », a-t-il noté. Le FCE plaide, en outre, pour une implication plus grande de l’Andi (Agence nationale de développement de l’investissement) dans la décentralisation de la décision d’investissement. « L’Andi a acquis aujourd’hui plus d’expérience et de potentialités pour pouvoir gérer ce système ».
http://www.tsa-algerie.com/economie-et-business/les-propositions-du-fce-pour-la-reconstruction-du-code-de-l-investissement_19068.html

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Message  Admin Mar 31 Jan - 12:47

La création d’entreprises otage de la bureaucratie: Des milliers de projets en attente (le 30.01.12)

L’Algérie est sans doute le seul pays au monde où il faut une multitude d’autorisations administratives pour créer de la richesse et offrir des emplois. Pour ouvrir une entreprise, il faut, en effet, subir toute une panoplie de procédures en se pliant à une multitude de chapelles administratives qui interprètent, chacune à sa manière, les textes réglementaires dans un esprit de blocage et de complications délibérés.

Les administrations publiques ayant obtenu des surcroîts de pouvoirs au cours de cette dernière décennie, il n’est aujourd’hui plus possible d’échapper à leurs diktats, à moins de suivre, comme c’est malheureusement souvent le cas, la voie de l’informel, de la corruption ou, quand cela est possible, celle des coups de pouce des hiérarchies. Le nombre d’entreprises et autres établissements (crèches, écoles et instituts de formation privés, bureaux d’études, etc.) en attente d’agréments pour enfin entamer leurs activités est incroyablement important. Une simple estimation permet d’évaluer le nombre de projets d’entreprises et investissements divers en attente d’agrément à, au minimum 40 000.

De quoi booster notre PIB d’au minimum 2 points supplémentaires et offrir pas moins 300 000 emplois aux jeunes algériens rongés par le chômage. Les freins causés par nos administrations pléthoriques et tatillonnes sont de plus en plus difficiles à desserrer tant les procédures sont nombreuses, très mal définies et malheureusement sans appel possible auprès d’une juridiction indépendante. Les porteurs de projets sont alors souvent tentés de prendre des raccourcis en soudoyant les détenteurs du pouvoir d’autorisation.

La route a ainsi été ouverte aux malversations de toutes sortes qu’il est aujourd’hui difficile d’arrêter. Car comment faire autrement quant vous avez, à titre d’exemple, remis à l’administration concernée tout le dossier requis pour l’ouverture d’une société ou autres entités créatrices de richesses et d’emplois, et que vous soyez contraints d’attendre sans explication aucune, de longs mois pour obtenir une autorisation administrative qu’on aurait pu vous délivrer en seulement quelques jours.Les bureaucrates sont évidemment dans l’incapacité de comprendre que le temps c’est de l’argent, qu’un montage financier établi aujourd’hui peut être totalement remis en cause au bout de quelques mois d’attente et que les postulants concernés sont souvent contraints de s’acquitter d’un très cher loyer en attendant leur hypothétique agrément. Ce n’est évidemment pas ainsi qu’on peut redresser une économie qui repose, comme chacun le sait, sur le nombre et la force de ses entreprises.

En Algérie, il n’est non seulement pas aisé de créer de nouvelles entreprises, mais, pire encore, très difficile de maintenir celles qui existent en activité. L’épée de Damoclès de l’administration menace en effet constamment, aussi bien, les promoteurs de nouvelles entreprises que les sociétés existantes, qu’une simple disposition d’une loi de finances complémentaire ou les errements d’une administration peuvent du jour au lendemain torpiller. Les 50.000 entreprises ayant fait faillite entre 2010 et 2011 en raison de l’imposition du Credoc comme unique moyen de paiement des importations, en est un parfait exemple.

Une économie otage de l’administration

Pour mettre fin aux hyperpouvoirs que se sont octroyés les administrations publiques en matière économique il n’y a, sommes-nous convaincus, qu’une solution. Celle consistant à déréglementer au maximum le processus de création d’entreprises et de promotion de nouveaux projets d’investissements. On ne voit, par exemple, pas pourquoi un investisseur devrait être soumis au bon vouloir d’un Conseil national d’investissement pour réaliser une usine de sidérurgie, un complexe industriel et autres projets susceptibles de créer de la richesse, offrir des emplois et booster nos exportations hors hydrocarbures. A une échelle moindre, on peut également se poser la question de savoir pourquoi les promoteurs seraient-ils obligés de soumettre leurs projets de création de crèches et d’écoles privées (elles sont plus d’un millier à attendre un agrément depuis de longs mois) à des procédures administratives aussi longues qu’inutiles, au moment où des mères travailleuses éprouvent d’énormes difficultés à gardienner leurs enfants et des milliers d’autres à scolariser convenablement leur progéniture.

Ce que les bureaucrates semblent ignorer, c’est qu’un millier d’écoles et de crèches empêchées d’activer, ce ne sont pas moins de 20 000 emplois de perdus et des dizaines de milliers d’élèves empêchés de poursuivre leur scolarité dans de bonnes conditions, notamment dans le préscolaire où existe un énorme déficit en la matière.Prise en otage par une administration qui travaille à sa perte, notre économie n’a de chance de se ressaisir que si l’autorité politique décide d’en réduire les pouvoirs régaliens qu’elle s’est octroyés tout au long de cette dernière décennie. Des pouvoirs devenus si forts que, dans bien des cas, ils s’opposent à l’autorité politique centrale en refusant d’appliquer des directives gouvernementales.

Les cas de non-applications de lois, qui souvent ne leur parviennent même pas, sont légion dans pratiquement toutes les wilayas de l’intérieur du pays. Un grave problème qu’ont, du reste, soulevé à de nombreuses reprises les associations patronales, à l’instar du Forum des chefs d’entreprises, mais également, certains partis politiques. Relancer la machine économique dans ce contexte fait d’obstructions et d’irresponsabilités administratives, constitue de ce fait un pari quasi impossible à tenir. Ôter aux administrations ces excès de pouvoir, supprimer les «chapelles» administratives, soumettre la création d’entreprises à une simple procédure de déclaration, mettre en place des voies de recours, avec des sanctions possibles, contre les abus d’autorité, constituent autant d’actions que l’Etat devrait impérativement entreprendre s’il veut réellement sauver des dizaines de milliers d’entreprises et de projets d’investissements en attente de concrétisation, des griffes prédatrices des administrations publiques.
http://www.elwatan.com/economie/des-milliers-de-projets-en-attente-30-01-2012-156932_111.php

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Problèmes et faiblesse de l'économie Algérienne  Empty Re: Problèmes et faiblesse de l'économie Algérienne

Message  Admin Mar 31 Jan - 20:28

La croissance en Algérie entravée par la mal-gouvernance, selon les experts

En dépit d'une situation financière très confortable favorisée par une embellie des prix pétroliers qui remonte maintenant à plus d'une décennie, l'économie algérienne semble s'installer durablement, année après année, dans un régime de croissance molle que viennent confirmer à la fois les résultats enregistrés en 2011 et les prévisions pour l'année 2012. Consensus au sein des économistes algériens : un défaut de gouvernance, pour ne pas dire une mal-gouvernance.

Les chiffres rendus publics ces derniers jours par les institutions financières internationales relèvent une croissance limitée à 2,5% en 2011 et plus faible que prévue, en novembre dernier encore, lors de la visite à Alger d'une délégation du FMI. Les perspectives pour 2012 ne sont pas beaucoup plus favorables. Les 3,1 % prévus cette année par le FMI sont à la fois contredits par la Banque mondiale qui annonce un petit 2,7% et menacés par les risques de dégradation de la conjoncture économique mondiale. Contrairement à une idée largement entretenue par le flou de la communication officielle qui annonce imperturbablement à chaque projet de loi de finances, une prévision de croissance voisine de 5%, les résultats obtenus sont loin d'être à la hauteur de notre potentiel économique. Selon les bilans établis dans ce domaine par le FMI et qui constituent la principale référence internationale, la dernière année de croissance forte en Algérie date de 2005 avec un chiffre de 5,1%. Depuis cette date, soit les 6 dernières années, la croissance globale de l'économie algérienne s'est toujours située entre 2 et 3%. Plus proche d'ailleurs de 2 que de 3%. Une performance très nettement inférieure à celle de la moyenne de l'économie mondiale ainsi qu'à celle des pays voisins. Compte tenu par ailleurs d'une croissance démographique voisine elle-même de 2%, ces chiffres correspondent à une stagnation du PIB par habitant, qui est le principal déterminant du niveau de vie de la population. Dans ce tableau assez sombre, le seul élément de satisfaction reste une croissance hors hydrocarbures proche de 7% et portée essentiellement par les secteurs du BTP, des services ainsi que par l'industrie privée.

EN QUEUE DE PELOTON POUR L'EXPORTATION

En dehors de sa mollesse «structurelle», les principaux points faibles de la croissance algérienne résident dans le fait qu'elle reste essentiellement tributaire de l'importance de la dépense publique, à l'origine notamment des performances enregistrées par le secteur du BTP. La croissance du PNB algérien est d'autre part tournée essentiellement vers le marché interne avec des performances en matière d'exportation (malgré des exportations hors hydrocarbures qui ont franchi pour la première fois la barre des 2 milliards de dollars en 2011) qui illustrent la faible diversification de notre économie. Dans ce domaine, la Banque Mondiale a élaboré un indicateur intéressant qui mesure le nombre de produits exportés par chaque pays. Avec 186 produits exportés, l'Algérie se classe tout à fait en queue de peloton, loin derrière bien sûr les champions que sont la Chine - qui en exporte près de 4500 - mais également la Turquie devenue grand exportateur avec 3200 produits. Ce n'est pas une surprise non plus, la Tunisie et le Maroc font beaucoup mieux que nous avec respectivement 1200 et 1100 produits exportés. La surprise vient peut être d'un pays comme l'Arabie Saoudite, au moins aussi pétrolier que nous et qui exporte quand même près de 350 produits. La médiocrité persistante des performances de l'économie algérienne a conduit depuis de nombreuses années les institutions financières internationales à réclamer, ainsi que l'a fait ces derniers jours le FMI dans son rapport sur l'Algérie, «des réformes structurelles plus résolues qui sont vitales pour atteindre des objectifs de diversification de l'économie algérienne».

CHANGER D'ECHELLE

La nouveauté de ces derniers mois, c'est que la stagnation de l'économie algérienne conduit aujourd'hui un nombre croissant d'opérateurs et d'économistes nationaux à réclamer, à l'image du think tank, «à défendre l'entreprise», une accélération du processus de réforme économique et un changement d'échelle de l'action de l'Etat dans ce domaine. C'est avec beaucoup de vigueur que les animateurs de ce groupe de réflexion au sein duquel figurent des noms aussi connus que Taieb Hafsi, Abdelmadjid Bouzidi ou encore Abdelhak Lamiri, ont relevé en décembre dernier qu' «il est devenu patent que les blocages dont souffre l'économie algérienne sont dus à un défaut de gouvernance». Pour eux «il est indispensable que l'Etat algérien accepte de remettre en cause sa gouvernance» et abandonne donc l'attitude de dénégation qui est aujourd'hui la sienne. Les pistes d'action qu'ils indiquent pour «mettre notre pays sur la voie d'une croissance forte et auto-entretenue» constituent un véritable programme économique inspiré explicitement des expériences mises en œuvre récemment et avec succès par des pays comme la Malaisie ou la Géorgie. Elles s'appuient notamment sur une réforme de l'administration visant à mettre en place «une administration professionnalisée, c'est-à-dire compétente, motivée et comptable de ses actions». La réduction de l'intervention de l'Etat dans la sphère économique est également au programme car, précisent les membres du think tank, «vouloir à tout prix préserver et développer un secteur public fort est un choix perdu d'avance». La participation des acteurs économiques aux grands choix de développement à travers notamment la transformation de la tripartite en instance permanente de consultation, ainsi que la mise en place d'une institution indépendante responsable de la simplification administrative pour les entreprises, figurent également parmi les propositions destinées à améliorer le climat des affaires et améliorer la croissance.

http://www.lequotidien-oran.com/index.php?news=5163676

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