Services informatiques, Logiciels et Sites web
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Lancement d’un fonds d’investissement pour soutenir des startup en Algérie
Merouane Mokdad
Un fonds d’investissement privé a été lancé par l’Algerian Startup Initiative (ASI), une organisation fondée par la diaspora algérienne basée dans la Silicon Valley, en Californie, aux États‑Unis. « Ce fonds est destiné aux opérateurs économiques algériens. Nous allons travailler avec le gouvernement algérien pour le programme de l’Ansej, lequel est orienté vers les PME et les startup. Ce programme d’aide à la création est exceptionnel, il n’existe pas ailleurs. Il est nécessaire d’avoir des mentors, des personnes qui vont coacher les startup, les accompagner jusqu’à ce qu’elles réussissent », a annoncé Smaïl Chikhoun, président du Conseil d’affaires algéro‑américain, invité lundi de la Chaîne III de la radio nationale.
Cette décision a été prise lors de la visite, qui s’achève aujourd’hui, d’une délégation de douze entrepreneurs dits capital‑risqueurs (venture‑capital) et investisseurs appelés business angels (BA) américains menée par Lorraine Hariton, la représentante spéciale des affaires commerciales au Département d’État américain. Les « business angels » investissent généralement dans une entreprise innovante comme les startup (technologie de la communication, internet, logiciel, etc.). En plus de l’argent, ils apportent leur expérience dans leur domaine d’activité. Ils mettent aussi les jeunes créateurs d’entreprises en contact avec leurs propres networking (réseaux).
Le nouveau fonds d’investissement porte le nom Casbah Business angels. « Cela passera par plusieurs niveaux. Aux États‑Unis, on commence à financer une startup à partir de 5 000 dollars, pris en charge par un business angel. Ensuite, viendra le venture‑capital qui mettra plus d’argent. Tout dépend de la portée qu’on veut faire de cette compagnie. Pour les startup algériennes, le budget va varier entre 10 millions de dinars jusqu’à un milliard de dinars. La contrepartie est que les investisseurs américains vont prendre des actions dans ces futures PME pour ensuite faire partie du management. Il n’y aura pas de transfert vers l’étranger. La startup restera en Algérie et, à terme, entrera en bourse », a indiqué Smaïl Chikhoun.
Selon lui, une quinzaine de startup algériennes ont été sélectionnées pour bénéficier du programme d’appui. Il a précisé que M. Yacine Rahmoun a lancé l’initiative en Algérie et travaille actuellement en étroite collaboration avec la diaspora algérienne de la Silicon Valley pour lancer les programmes destinées aux startup qui sont les nouvelles technologies et de les accompagner. « Nous avons la chance d’avoir ces algéro‑américains qui ont beaucoup d’expertise et qui veulent travailler en Algérie. Il y a eu un concours et le vainqueur a bénéficié d’un voyage aux États‑Unis. Il a visité un incubateur d’entreprises au niveau du Michigan. Là‑bas, il a passé quatre mois à étudier dans une université », a‑t‑il dit. Il a plaidé pour le regroupement des initiatives visant à soutenir la création des PME au niveau national.
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- (APS) samedi 3 décembre 2011 14 : 46
WASHINGTON - Une quarantaine de chercheurs et d’ingénieurs algériens de la célèbre technopole de San Francisco, Silicon Valley, se rendront en février prochain à Alger pour la mise en place d’un projet d’accompagnement des start-up (entreprises innovantes) algériennes.
Dans ce cadre, un forum devrait regrouper notamment les ministères respectivement de l’Industrie et de la Poste et des TIC, l’Agence nationale de soutien à l’emploi des jeunes (Ansej), des banques et la délégation des technologues algériens de Silicon Valley, a indiqué à l’APS l’ambassadeur d’Algérie à Washington, Abdallah Baali.
La diaspora algérienne qui prendra part à cette rencontre sera composée de spécialistes exerçant, pour la plupart, dans les grandes entreprises technologiques américaines telles que Apple, Google, Cisco, Oracle, Intel, Hewlett-Packard, ainsi que d’Algériens qui sont patrons de leur propre société technologique tel Belgacem Haba, surnommé "l’homme aux 200 brevets d’invention" dans la microélectronique.
Selon le président du Conseil d’affaires algéro-américain, Smail Chikhoune, durant les deux jours de ce forum, il s’agira d’élaborer une "feuille de route" à moyen et long termes avec un programme bien défini pour promouvoir en Algérie les jeunes entreprises, en activité ou à créer, spécialisées essentiellement dans les nouvelles technologies.
En effet, explique-t-il, pour aider les jeunes Algériens détenteurs d’idées dans le domaine des technologies à créer leur start-up et doter celle-ci d’un potentiel de croissance, "il ne suffit pas de leur accorder une aide financière uniquement et de les lâcher dans la nature sans aucun accompagnement ni suivi".
Les conditions de réussite et d’expansion de ces entreprises de nouvelles technologies, poursuit-il, dépendent aussi, fondamentalement, d’une aide en matière d’expertise en management et d’un accompagnement professionnel multidimensionnel à travers, notamment, le "coaching", qui permet à la personne "coachée" d’approfondir ses connaissances et d’améliorer ses performances pour la croissance de son entreprise.
Et c’est à ce niveau que l’expertise des spécialistes algériens de la principale technopole américaine devra intervenir.
Pour la mise sur pied de ce projet, il sera proposé, entre autres, au cours du forum d’Alger, la création d’un fonds d’investissements dont le rôle consiste à financer à la fois les start-up et le coaching des experts.
Les ressources financières de ce fonds pourraient provenir de financements de l’Etat, des banques ainsi que des entreprises de tout secteur, lesquelles pourraient prendre des participations dans le capital de la start-up laquelle, finalement, est une potentielle future PME en cours de gestation.
Qui plus est, a observé M. Chikhoune, l’Algérie dispose de solides jeunes compétences en matière des nouvelles technologies, qui doivent être encouragées par une politique qui favorise les idées innovantes.
A ce propos, il ne manque pas de relever que lors d’une visite effectuée en octobre dernier à Alger par une délégation du département d’Etat et de jeunes entrepreneurs américains sur le partenariat en matière d’incubation d’entreprises, il a été question de choisir, à l’issue de cette rencontre, une start-up algérienne sur les 15 participantes, pour suivre un stage au niveau d’un incubateur d’entreprises et d’une université à Detroit (Michigan).
Selon M. Chikhoune, sur les projets exposés par les 15 jeunes candidats algériens spécialisés dans les TIC, cinq (5) start-up ont présenté des projets innovants qui étaient d’une telle excellence, notamment dans le domaine du software, qu’il avait été extrêmement difficile de les départager et dont le candidat de Djelfa a été finalement retenu par la partie américaine.
Outre l’élite algérienne de la Californie, qui concentre le plus gros des entreprises de technologies de pointe américaines, il est également prévu, dans les prochaines étapes, d’associer les technologues algériens des autres parties des Etats-Unis pour développer les entreprises des nouvelles technologies en Algérie.
Pour le président de l’USABC (US-Algeria business council), il faudrait s’inspirer de la méthode adoptée depuis bien longtemps par l’Inde et la Chine dont les gouvernements demandent à leur élite scientifique vivant à l’étranger de parrainer les "jeunes pousses" technologiques locales et, aussi, de créer des entreprises dans leur pays d’origine.
http://www.aps.dz/La-diaspora-algerienne-de-Silicon.html
http://www.algerianstartupinitiative.com
Dernière édition par Admin le Sam 3 Déc - 23:50, édité 4 fois
Re: Services informatiques, Logiciels et Sites web
Solution Globale Sofrware est une entreprise Algérienne qui propose des solution informatique:
http://www.sg-software.dz
DELFIV est un Bureau d' Etudes et de Conseil en Informatique. Il a pour mission de développer des logiciels adaptés à la gestion commerciale et industrielle.
http://www.delfiv.com/public/delfiv
SofrArt propose la création de sites web et des CD multimedia
http://www.softart-dz.net
http://www.sg-software.dz
DELFIV est un Bureau d' Etudes et de Conseil en Informatique. Il a pour mission de développer des logiciels adaptés à la gestion commerciale et industrielle.
http://www.delfiv.com/public/delfiv
Ses logiciels:
LOGICOM est un logiciel de gestion commerciale et industrielle il est destiné aux différentes catégories de commerçants, nous citons : les industries, les importations, les commerces de gros, les commerces de détail, les supérettes, les pharmacies, etc.Détail
ABS est un logiciel composé de trois volets : Associés, Bilan et SalariésDétail
PAIE: le logiciel de paie permet le calcul et l'établissement des états périodiques de paie.Détail
GESCOM est un logiciel qui est développé sous l'environnement DOS et qui permet une gestion glabalisée des différentes catégories de commerce.
GESIND est un logiciel qui est développé sous l'environnement DOS et qui permet de gérer des unités de productions.
http://www.delfiv.com/public/delfiv/catalogue/index/page/1/nbrperpage/4
SofrArt propose la création de sites web et des CD multimedia
http://www.softart-dz.net
Re: Services informatiques, Logiciels et Sites web
Start up week end : L’offshoring fait le buzz parmi les jeunes entrepreneurs
La Start-up Week-end d’Alger organisée cette année à l'E.S.I.
Créer sa propre entreprise fait encore rêver en Algérie. Pourtant, pour beaucoup de jeunes étudiants, c’est devenu un jeu qu’ils arrivent à maitriser même à distance. Rencontre avec des algériens connectés au monde. C’était à la seconde édition de « startup weekend » d’Algérie qui a eu lieu du 17 au 19 novembre à l’école nationale supérieure d’informatique (ESI) de Oued Smar. Où l’on apprend qu’il est possible de vendre des services aux USA, à partir de son laptop dans le sac à dos.
A la manière d’une émission de jeu télévisuelle, la scène se déroule dans un amphithéâtre de l’ESI. Face à un public d’une centaine de personnes, agités et flanqués des mêmes badges et tee-shirts, un jeune identiquement habillé tente, microphone tremblant à la main, de baragouiner une présentation, adressée aux seules personnes « distinguées » qui occupent le premier rang de la grande salle. De l’autre côté de la scène est projeté, sur un écran extra large, un compte à rebours de cinq minutes, qui a démarré quand le « candidat » a commencé sa présentation. Lorsqu’il jette un premier coup d’œil sur le compteur, il affiche déjà 3 minutes 50, il a tout juste eu le temps de donner les noms des membres de son équipe. Panique. Il lui reste moins de 4 minutes pour exposer sa « future entreprise de services » et convaincre l’assistance bruyante, dans une langue française qui semble lui échapper et avec l’appui d’un collègue aux commandes du data show un peu distrait, que son idée est bonne et innovante, que l’étude de sa faisabilité est concrète, que le plan financier détaillé est solide, que la stratégie marketing est ciselée, et que l’application informatique et son site web sont déjà opérationnels. Mission impossible.
Dans la seconde partie du « jeu », ce sont cinq autres minutes de questions du jury, que le candidat devra subir en espérant, cette fois, voir le compteur s’accélérer. Le « startup weekend » est une sorte de concours de création d’entreprise à partir d’une simple idée lancée le premier jour, autour de laquelle se forme une équipe qui se rencontre, parfois pour la première fois, aidée par un « coach » (souvent un entrepreneur confirmé). L’équipe formée s’attelle à transformer l’idée en une « entreprise viable » en seulement 54 heures chrono, que sanctionne un jury lors des 10 dernières minutes de la présentation.
Des idées qui vont de la géolocalisation au e-learning
Tarik Zakaria Benmerar, 22 ans, était lors de cette soirée de clôture un de ces candidats. La barbe élégamment taillée, sac à dos et laptop toujours à portée de main, il est venu, comme des dizaines d’autres jeunes (pas toujours du centre du pays) participer à l’élaboration d’une startup. « Je suis arrivé avec une idée que je pratique déjà avec ma petite entreprise », nous confie-t-il juste avant les délibérations. « Il s’agit des services en offshoring informatiques, mais de la trentaine d’idées de départ qu’on a proposé, après un vote, il fallait en garder qu’une dizaine, la mienne n’a pas été retenue, j’ai alors intégré une équipe pour développer un autre concept qui m’intéresse, les services écologiques », ajoute Tarif.
Au final, dix équipes mixtes ont ainsi été formées, proposant des idées aussi différentes les unes que les autres. Allant des services de géolocalisation à la préparation via site web de fêtes de mariage en passant par le e-learning, la communication web et autres services d’optimisation de la diffusion, des stocks et de la production.
Le choix de l’ESI pour tenir la seconde édition algérienne de « startup weekend » (la première s’est déroulée en avril dernier lors de la semaine du web, au cyber parc Sidi Abdellah), à l’initiative du club scientifique CSE, fondé et dirigé par un ex-étudiant de l’école, Mohamed Bougaa, était de pouvoir disposer des locaux de l’école, tel le grand amphithéâtre et la bibliothèque. Le CSE a également pu mobiliser ses membres, très attentifs aux moindres besoins des candidats, ainsi que certains sponsors dont Microsoft, déjà partenaire des startup weekend à travers le monde aux cotés de Google. Egalement partenaire, l’Agence Nationale de Promotion et de Développement des Parcs Technologiques (ANPT) a offert au premier lauréat de cette édition « 30 mois d’hébergement dans ses locaux et l’intégrer dans le programme incubateur de startup du Cyber Parc Sidi Abdellah avec l’assistance nécessaire pour lancer son entreprise », a déclaré Rachâa Bedjaoui-Chaouche directrice de l’incubateur et membre du jury.
« optimiser des logiciels qui font tourner des boites aux USA »
Pour Tarik Zakaria Benmerar, l’enjeu principal de ses startup weekend était de bénéficier des locaux du Cyber Parc Sidi Abdellah qui nécessitent initialement un dossier de candidature qui « ne mord pas souvent ». Encore étudiant à Bab Ezzouar, il a créé une entreprise… aux Etats-Unis. « Avec seulement 520 dollars de placement de départ, j’ai pu créer ma propre entreprise Acigna Inc (qui veut dire cloud ou nuage en Amazigh) », nous déclare-t-il sans fierté.
Et comme l’organisateur des startup weekend, le « Chief Executive Officer and Founder » de Acigna Inc organise lui aussi depuis 3 ans, dans son université, les Linux install Party, la boucle est bouclé. Et chacun peut venir avec son ordinateur découvrir, essayer voire installer le système d’exploitation open source Linux sur sa machine.
« Mon boulot dans ma boite ne me demande pas beaucoup d’effort, je travaille quelques heures par semaine, cela consiste à corriger des bugs et optimiser des logiciels qui font fonctionner des entreprises aux USA, je suis payé environ 800 dollars de l’heure. Il m’arrive de gagner jusqu’à 40.000 DA par mois. Nous sommes de plus en plus nombreux à faire ce travail », ajoute-t-il. Comme le confirme Mohamed Bougaa, beaucoup de jeunes entrepreneurs, qui refusent de passer par l’ANSEJ pour cause des taux d’intérêt considérés comme de l’usure ou en raison des lenteurs administratives, cherchent d’autres moyen comme le sponsoring ou travailler dans l’offshoring, c’est à dire à partir de l’Algérie pour des entreprises basées à l’étranger.
http://maghrebemergent.info/high-tech/75-entreprise/6438-start-up-week-end-loffshoring-fait-le-buzz-parmi-les-jeunes-entrepreneurs.html
Re: Services informatiques, Logiciels et Sites web
Les bonnes affaires sur le net, tendance naissante des internautes Algériens.
La vente en ligne fait ses premierspas en Algérie
Le développement du commerce électronique en Europe et aux Etats-Unis est dû notamment au foisonnement de sites proposant les « bonnes affaires » sur le net, promotions, des bons de réduction, des achats groupés et des comparateurs de prix. En Algérie, le recours à l’internet pour faire les bonnes affaires fait son petit bon homme de chemin. Par-dessus un vide réglementaire qui perdure. Le site « Dzreduc.com » d’Ideatic en est une parfaite illustration.
C’est « la volonté d’utiliser l’outil Internet pour faciliter la vie de tous les jours» qui a poussé l’équipe d’« Ideatic » à se lancer dans une aventure inédite en Algérie, créer le premier site algérien dédié aux bonnes affaires : « Dzreduc.com ». Le site propose aux consommateurs des bons de réduction leur permettant d’effectuer des achats à prix réduits dans les magasins les plus proches de chez eux. Lancé 24 octobre dernier, il suscite déjà la curiosité des internautes qui se comptent par milliers à l’avoir visité en si peu de temps. « Depuis le lancement, le nombre de visites au site avoisine les 18000, plus de 950 membres inscrits, plus d’une soixantaine d’offres publiées, et déjà plus de 600 coupons de réductions téléchargés », selon Loubna Lahmici, Manager à Ideatic (lire l’entretien qui suit). Ces performances, enregistrées en moins d’un mois et demi, témoignent de l’avenir « florissant » qui attend ce créneau encore vierge en Algérie.
L’insertion des offres commerciales dans le site, dont le coût avoisine les 2500 DA pour une période n’excédant pas un mois, va certainement donner des idées à beaucoup d’autres qui voudront investir ce filon des sites de bon plans. Le recours au Web pour effectuer des achats sera, d’ici peu, la nouvelle tendance de consommation des internautes Algériens, si l’on juge par la rapidité avec laquelle ce concept a conquis les internautes occidentaux.
(...)
http://maghrebemergent.info/high-tech/67-internet/6760-les-bonnes-affaires-sur-le-net-tendance-naissante-des-internautes-algeriens.html
Re: Services informatiques, Logiciels et Sites web
«Nous voulons être en première ligne quand le e-paiement sera opérationnel en Algérie»
wwww.dzreduc.com est le 1er site de promotion et de bons de réduction en Algérie
Dans cet entretien, Loubna Lahmici, Manager à Ideatic, une entreprise de solutions logicielles, nous présente le nouveau né dans la sphère du e-business en Algérie : Reducdz.com, un site de promotion et de bons de réduction sur le Web. Elle nous explique comment le consommateur algérien va s’habituer à utiliser Internet pour rechercher les bons plans et les meilleures offres des commerçants de sa région. Une anticipation sur la vente en ligne en souffrance de textes règlementaires pour le e-paiement.
Cliquez sur SPOILER pour voir l'interview
- Spoiler:
- Q:Pouvez-vous nous donner un aperçu de votre nouveau site "dzreduc.com" ?
R:Lancé le 24 Octobre dernier, wwww.dzreduc.com est le 1er site de promotion et de bons de réduction en Algérie. Il propose aux consommateurs algériens des coupons de réductions des commerçants/enseignes proches de chez eux et leur permet de faire des économies. L'utilisation de dzreduc.com est simple. Son interface intuitive permet à chaque utilisateur de comprendre rapidement son fonctionnement. En devenant membre, le consommateur a la possibilité de trouver une réduction en recherchant dans les différentes catégories : Santé & Beauté, Restauration, Informatique, Électroménager, Mode, Maison, Automobile, Loisirs & Voyages…etc. L’internaute a également la possibilité rechercher directement tous les bons plans liés à un marchand/enseigne à travers le moteur de recherche du site. Il peut ensuite télécharger, imprimer le coupon de réduction de l’offre qui l’intéresse, se rendre au magasin pour effectuer son achat et profiter de la remise sur place.
Q:Comment l’idée vous est venue d’investir dans ce concept de vente des bons de réduction sur Internet ?
R:Depuis le début 2011, nous avons décidé de nous orienter vers tout ce qui est e-business, et l’idée d’un site de bons de réduction est venue naturellement. De plus le succès que connaissent à travers le monde des sites d’achats groupés, tel que Groupon et LeavingSocial, nous ont fait rêver. Nous voulons être en première ligne quand le e-paiement sera opérationnel en Algérie et l’idée d’un site tel que dzreduc.com serait un bon tremplin.
Q:Le concept ne s’apparente t’il pas à ce lui de la e-vitrine ?
R:Oui, on peut dire ça, car nous offrons en premier lieu de la visibilité aux enseignes locales avec une valeur ajoutée en plus qui est le coupon de réduction permettant de combler leur manque à gagner. Exemple: liquider un stock, promouvoir une gamme, booster leur chiffre d’affaires les périodes de faibles affluences, … C’est très simple, l’enseigne publie son offre sur dzreduc.com, l’offre concerne un produit ou un service et comporte un nombre de coupons à télécharger avec une validité à déterminer.
Q:Les entreprises ou les commerçants qui offrent les bons de réduction gagnent en visibilité. Paient-ils pour ce service ? Et comment votre entreprise « Ideatic » gagne-t-elle dans cette opération ?
R:Notre modèle économique repose sur le paiement des commerçants pour la visibilité qu’ils ont sur notre site, puisque le site est totalement gratuit pour les consommateurs algériens. Notre offre commerciale propose plusieurs formules en fonction du nombre de promotions publiées sur le site et du niveau de visibilité. Une enseigne peut, par exemple, choisir une simple présence sur le site, et son offre/promotion sera classée dans sa catégorie ou accessible via le moteur de recherche du site. L’enseigne peut également opter pour une meilleure visibilité et sera placée dans l’offre du jour ou dans le slideshow de la page d’accueil. Quelque soit le type d’emplacement choisi, l’offre de l’enseigne est publiée pendant trente (30) jours sur le site.
Q:Le site a-t-il suscité de l’engouement aussi bien chez les consommateurs que chez les enseignes ? Quel est le coût de publication d’une offre commerciale ?
R:Depuis le lancement du site, le nombre de visites avoisine les 18.000, avec plus de 950 membres inscrits, et plus d’une soixantaine d’offres publiées. Le coût moyen pour la publication d’une offre est de 2500 DA HT pour plus de 600 coupons de réductions téléchargés.
Q:Avez-vous pensé à proposer à des partenariats avec les commerçants pour faire des promotions « choc » pour générer plus de pub et plus de clients ?
R:Nous n’offrons pas seulement à nos clients (enseignes et commerçants) de la visibilité mais nous leur apportons également du conseil et de l’accompagnement dans la formulation de leurs offres & promotions. Nous proposons également des campagnes d’e-mailing et de SMSing ciblées, ce qui leur permet d’attirer plus de prospects et donc de nouveaux clients et accroître ainsi leur chiffre d’affaires. Et tout ça à des coûts de communication moindre.
Q:Peut-on considérer cette initiative comme un contournement de la vente en ligne, non encore disponible en Algérie ?
R:Ça n’est pas un contournement mais plutôt un travail de préparation et d’éducation à la vente en ligne et donc au commerce électronique. Avec « dzreduc.com », le consommateur algérien va s’habituer à utiliser Internet pour rechercher les bons plans et les meilleures offres des commerçants de sa région. Pour les commerçants c’est une prise de conscience de l’importance des nouvelles technologies de l’information et de la communication pour leurs business. Internet est un média peu onéreux pour des campagnes de communication et de marketing, de plus c’est le seul média qui permet une réelle traçabilité. Dans le cas de « dzreduc.com » nous sommes en mesure de fournir au commerçant le profil exact des consommateurs qui ont téléchargé ses coupons et donc mieux cibler le consommateur.
Q:Avec la démocratisation du téléphone portable en Algérie, avez-vous pensé à intégrer le mobile dans une opération de e-paiement ?
R:C’est vrai que le taux de pénétration du mobile en Algérie est très élevé (plus de 90%) et pourrait constituer un excellent outil de e-paiement, mais ce genre de projet ne peut être initié par une entreprise mais plutôt par des institutions financières en partenariat avec des opérateurs télécoms. Tout ce que peut apporter l’entreprise à ce genre de projet c’est peut être une solution technique ou un service intermédiaire.
Q:La fonctionnalité du transfert de crédit (flexy, storm et erselli) peut-elle constituer un levier pour créer un mode paiement virtuel ?
R:Oui cela pourrait constituer un excellent levier. Les opérateurs télécom ont les moyens techniques et financiers pour proposer de tels services, mais en même temps ils n’ont pas le statut d’organismes bancaires et doivent donc s’allier à des banques pour faire aboutir ce genre de projet. Mais le problème réside dans le manque de cadre juridique et de réglementation concernant ce genre d’opération (M-paiement). Il faudrait donc que le législateur travaille sur ce volet et qu’il y’ait une réelle volonté gouvernementale de lancer le paiement électronique (M-paiement ou paiement en ligne) en Algérie accompagné d’une forte communication et de mesure incitatives à l’encontre des commerçants et des consommateurs algériens. Vous imaginez si dans un avenir proche nous pourrions payer nos factures d’eau d’électricité, avec notre téléphone portable ou par internet en utilisant une carte bancaire, et ne plus avoir à faire la queue devant les guichets de Sonelgaz ou de la SEAAL, ou bien acheter un billet d’avion ou de train et recevoir une confirmation sur son téléphone ou par mail sans avoir à se déplacer à l’agence ?
http://maghrebemergent.info/high-tech/67-internet/6759-l-nous-voulons-etre-en-premiere-ligne-quand-le-e-paiement-sera-operationnel-en-algerie-r.html
Re: Services informatiques, Logiciels et Sites web
ÉCRIT PAR YACINE H. ET ABDELKADER ZAHAR MERCREDI, 14 DÉCEMBRE 2011
«Comment à partir de Bab Ezzouar, j’ai créé mon entreprise aux USA»
Ils ont moins de trente ans, ils sont diplômés dans des disciplines des technologies de l’information. Ils vivent en Algérie et ne pensent pas à la quitter. Pourtant, chaque jour, ils quittent virtuellement le pays pour aller travailler outre-Atlantique à partir de leurs ordinateurs. Tarik, le patron d’Acigna, illustre cette montée de l’offshoring qui permet de contourner les difficultés de l’entreprenariat domestique. Portrait.
Tarik Zakaria Benmerar, 25 ans, est inscrit en doctorat LMD d’informatique à l’Université des Sciences et de la Technologie Houari Boumediene (USTHB) où il s’occupe d’un club scientifique qu’il a fondé. Il comptabilise déjà plusieurs années d’expérience professionnelle en travaillant avec des entreprises étrangères.
Devant les contraintes à la création d’entreprises en Algérie, Tarik n’a pas voulu attendre éternellement. A défaut de partir, il a, simplement, crée son entreprise… aux USA. Il est payé en dollars et paye ses taxes aux Etats-Unis. Le tout à partir d’Alger.
Tarik a choisi une méthode moderne pour s’incruster dans le monde du travail. Son profil et son CV sont publiés sur le réseau social professionnel « Linkedin » où ils sont accessibles à des milliers d’entreprises et autres chercheurs de têtes.
« Tout le monde fait ça aujourd’hui », dit-il le plus naturellement du monde à propos de la création d’entreprises à partir de son ordinateur.
Son entreprise baptisée « Acigna Inc », ce qui en tamazight veut dire nuage ou cloud, en relation avec le « cloud computing », un concept qui consiste à placer sur des serveurs distants les traitements informatiques d’une entreprise.
Pour créer son entreprise aux USA, Tarik a dû dépenser 525 dollars, en plus des taxes annuelles dont il doit s’acquitter en tant qu’opérateur économique. « Acigna Inc » ne dispose pas de son numéro d'identification d'employeur (EIN) qui est également connu comme le numéro d'identification fiscale fédéral, nécessaire pour identifier une entité commerciale naissante. Mais le patron d’Acigna se dit « confiant » pour l’obtention de l’EIN.
Moins de commandes en ce moment
Pour créer son entreprise il est passé “comme beaucoup de personnes” par des agences spécialisées comme « freelancer.com » ou « odesk.com » qui aident dans les procédures de création de l’entité économique et à trouver des marchés.
« Après il suffit de chercher des jobpost où les employeurs permettent le travail à distance », explique notre interlocuteur.
En lançant « Acigna », Tarik peut faire de la sous-traitance informatique pour des clients basés aux USA sur des projets bien précis. « Je travaille pour eux à partir d’Algérie. En ce moment, je bosse pour une entreprise de VoiP, « Intelechoice.us », qui a un site Web basé sur les technologies Python/Django, framework de développement open-source. Mon boulot, depuis plus d’une année, consiste à corriger les bugs, arranger le code source et autres aménagements de sécurité », précise-t-il.
Pour ce job Tarik gagne environ 600 DA de l’heure, et veut « négocier une augmentation ». « A une époque je me faisais jusqu’à 40.000 DA par mois, mais en ce moment il y a moins de commandes. Je reste confiant. Avec un peu de persévérance, je pourrais faire remonter la cadence à nouveau, et augmenter les revenus également ». Pour le moment, il se contente de travailler « 6 heures par semaine ». « En réalité ce n’est pas très dur. Mais je dois quand même faire attention. Si des bugs persistent et si je ne suis pas présent quand il le faut, ça peut me causer préjudice pour plus tard. J’ai une réputation à défendre ».
Pour percevoir ses revenus, Tarik passe par des moyens détournés « pour ne pas perdre au change ». « Si je passe par une banque algérienne, je ne peux récupérer mon argent qu’au taux officiel (environs 1 dollars US pour 75 DA), alors que je peux les échanger au marché parallèle à un taux bien plus avantageux. Mais de toute façon je suis très bien payé par rapport au boulots que je peux trouver ici en Algérie », dit-il.
Projet non retenu dans les startup week end
Qu’est ce qui a empêché Tarik de créer son entreprise en Algérie ? « Mon projet de services informatiques en offshore n’a pas été retenu au dernier Startup Weekend qui a été organisé, en novembre, à l’Ecole normale supérieure d’informatique (ESI) d’Alger. Je voulais que mon projet aboutisse à travers ce canal. Car, en réalité, j’ai des appréhensions concernant la création de ma propre entreprise. Des craintes par rapport aux impôts et autres démarches administratives et bancaires. C’est pour cela que j’ai choisi d’essayer de passer par cet incubateur dont le principe est de faciliter la tâche aux jeunes entrepreneurs au démarrage de leurs projets ».
En Parallèle à ses activités rémunérées, Tarik est « cofondateur du club "openmindstuds.com" où il fait la promotion des logiciels open source en Algérie ». « Nous organisons, pour le grand public, ce qu’on appelle les "Linux Install Party", pour faire découvrir à ceux qui veulent le système d’exploitation Linux et d’autres logiciels libres dans tous les domaines », explique-t-il.
http://www.maghrebemergent.info/high-tech/75-entreprise/6945-lcomment-a-partir-de-bab-ezzouar-jai-cree-mon-entreprise-aux-usar.html
Re: Services informatiques, Logiciels et Sites web
Algérie - lancement ‘’prochain’’ du projet Technoparc d’Oran (ministre)
Le projet de Technoparc d’Oran sera lancé "prochainement", a annoncé, samedi, le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication (P-TIC), Moussa Benhamadi. "Les avis d’appel d’offres de ce futur parc technologique, qui sera édifié sur une assiette de 30 hectares à Belgaïd (Bir Djir), à l’est d’Oran, seront lancés dans les tout prochains jours", a précisé le ministre lors d’une visite de travail à la capitale de l’Oranie. "Ce projet est appelé à développer la création de start-up de la région, et à créer un certain nombre d’activités dédiées aux sociétés de technologies de l’information et de communication (TIC)", a-t-il ajouté. Le futur Technoparc d’Oran sera doté d’un incubateur de recherche et d’un multi-locateur pour start-up. Il servira également de catalyseur en assurant des prestations de services (TIC) au profit d’entreprises économiques et industrielles de la région ouest, a-t-on précisé auprès de la délégation ministérielle. Cette infrastructure sera connectée par fibre optique à la ville de Valence (Espagne) et aura pour particularité de disposer d’une liaison autonome au réseau international pour servir de liaison de secours, a-t-on expliqué. (APS)
http://maghrebemergent.info/actualite/fil-maghreb/7212-algerie-lancement-prochain-du-projet-technoparc-doran-ministre.html
Re: Services informatiques, Logiciels et Sites web
Omar Djaiz, d’IBI Solutions Canada veut employer 100 ingénieurs en Algérie
(...) Omar Djaiz lance (au CANADA) IBI Solutions, sa compagnie spécialisée dans le développement de solutions logicielles web et mobiles ainsi que l’intégration d’applications et la création d’outils d’aide à la prise de décisions. Il savait que le chemin allait être long et qu’il fallait continuer malgré les difficultés. La persévérance a fini par payer. Il a réussi, par exemple, à placer un de ses produits, MobileTech, chez les sous-traitants de Vidéotron, le deuxième opérateur télécoms dans la province du Québec.
Il fait bénéficier actuellement de ses compétences l'équipe d’un centre d'expertise en Intelligence d'affaires de la Caisse de dépôt et placement du Québec.
Bien qu’étant constamment dans l’action, Omar Djaiz est toujours en mode recherche de lancer des projets en Algérie. Il est de toutes les rencontres « sérieuses » d’affaires impliquant des membres de la communauté algérienne au Canada. Il prospecte pour sous-traiter en Algérie une partie de son activité de développement logiciel. Il est convaincu que l’avenir de l’Algérie est dans l’offshoring, la délocalisation du savoir.
« Avec le même salaire d'un ingénieur ici au Canada, je peux payer décemment cinq en Algérie. Mon objectif est d’y recruter une centaine d'ingénieurs. Si le jeune ingénieur qui termine ses études à l'université travaille dans mon entreprise au lieu de rêver de partir, j'aurais apporté ma contribution au développement du pays », conclut-il.
http://maghrebemergent.info/high-tech/66-telecom/7709-omar-djaiz-dibi-solutions-canada-veut-employer-100-ingenieurs-en-algerie.html
Re: Services informatiques, Logiciels et Sites web
Le domaine « .dz » ne décolle pas dans l’espace numérique algérien
Au 8 janvier 2012, le nombre de noms de domaines ".dz" enregistrés par Network Internet Center (www.nic.dz), l'organe agréé par l'ICANN pour la gestion du ccTLD .dz relatif à l'Algérie, était de 3996. Le nanisme de ce chiffre s’explique d’abord par la faiblesse du marketing qui entoure l’extension ".dz" et l’incompréhension de la plus value d’une telle dénomination par les clients potentiels.
Les pouvoirs publics souhaitent porter le nombre de nom de domaines ".dz" à un million d’ici 2013. Telle est l’ambition du plan « e-Algérie 2013 » dont l’un des objectifs est d’« améliorer la visibilité de l’Algérie sur Internet à travers une gestion efficace du nom de domaine ".dz" ». Premier couac, l’« agence de gestion du nom de domaine .dz » prévue dans le cadre de cette feuille de route tarde à voir le jour.
De plus, pour atteindre ce million de noms de domaines, la dictature de la moyenne nous apprend qu’il faut en créer 58 par heure pendant les 730 jours qui nous séparent de la fin 2013. Avec un rythme de 2 noms de domaines créés par jours (4012 au 16 janvier 2012) cela parait irréalisable.
Pour encourager l’enregistrement de sites en « .dz », il faut lever toutes les contraintes à commencer par les plus banales. Il faut savoir que le Centre de recherche sur l’information scientifique et technique (CERIST), en tant que patriarche de l’Internet en Algérie, est sous double tutelle hiérarchique du Ministère de l’enseignement supérieur (MESRS) et fonctionnelle du Ministère des postes et des technologies de l’information et de la communication (MPTIC).
L’autre contrainte est liée à l’intitulé et au contrôle d’unicité et de propriété du nom. Elle relève des compétences de l’Institut national algérien de la propriété industrielle (INAPI) avec des délais et une paperasse auxquels les Algériens sont si habitués qu’ils préfèrent s’abstenir d’entreprendre ces démarches.
La dernière contrainte est d’ordre pratique. Elle concerne les coûts exigés par Wissal.dz qui vont de 30.000 à 110.000 DA l’année pour chaque adresse. Avec de tels coûts, les clients ne risquent pas de se bousculer au motif que ce n’est pas un palace pour les sites Internet.
« Le coût de la bande passante est très élevé »
Selon Djamel Khelifati, manager de la société Kdconcept, un des Registrar agréé du NIC-DZ pour transmettre les demandes d’enregistrement de noms de domaines « .dz », qui compte à son actif 220 noms de domaines, les prix pratiqués ne sont pas élevés. « Si vous comparez aux autres data center Djaweb et TDA, les prix du CERIST sont très corrects. Le problème réside dans le coût d’allocation de la bande passante en Algérie, comparée aux data center à l’étranger, il est très élevé ».
Pour lui, « l’infrastructure du data center du Cerist s’améliore de jour en jour », mais déplore « une bande passante est limitée à 2 Mo partagée par tous les serveurs du Centre ».
Les objectifs de développement du nom de domaine ".dz" sont aussi tributaires du degré de confiance des internautes Algériens dans les capacités du Cerist, Wissal et d’Algérie Télécom.
Pour atteindre l’objectif du million de domaines ".dz" pour fin 2013, il faudra peut être le transformer en opportunités de développement économique et technologique. La possibilité d’un enregistrement on-line et gratuit, sans bureaucratie et avec un contrôle à posteriori, des noms de domaine, dans un seul formulaire, avec une réponse rapide. La deuxième initiative serait une récompense pécuniaire de tous les internautes qui produiraient de l’innovation dans un domaine dz.
Ce qui se précise au fil du temps, c’est qu’aucun site algérien dans le domaine des libertés civiles et politiques ne verra le jour en ".dz" tant que ses promoteurs auront la crainte de subir les foudres de la censure.
http://maghrebemergent.info/high-tech/67-internet/7947-le-domaine-l-dz-r-ne-decolle-pas-dans-lespace-numerique-algerien.html
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