L'Aéronautique et le Spatiale.
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L'Aéronautique et le Spatiale.
Lire à propos du premier congrès de l'aéronautique en Algérie et la naissance de l'Association Algérienne d'Aéronautique. Cliquez sur SPOILER
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Algérie: Oran accueille le premier congrès national de l'aéronautique
Le premier congrès national de l'Aéronautique sera organisé les 22 et 23 novembre à Oran, à l'initiative de l'université des sciences et de la technologie "Mohamed-Boudiaf". Plus de 40 spécialistes algériens ont déjà confirmé leur participation à cette rencontre qui s'articulera autour des thèmes de l'aérodynamique, des matériaux et de la commande des drones, ont indiqué les organisateurs.
"L'objectif consiste à réunir toutes les compétences nationales spécialisées dans ces trois axes de recherche", a expliqué à l'APS le docteur Imine Bachir, président du Comité scientifique de la manifestation.
Des chercheurs en provenance de différentes universités du pays, de l'Ecole militaire polytechnique d'Alger et de l'Ecole supérieure de l'Air de Tafraoui (Oran) sont attendus à ce congrès auquel sont également invités d'autres experts algériens établis à l'étranger. Les travaux de cette rencontre seront axés essentiellement sur la recherche fondamentale, la recherche appliquée et la mise en œuvre industrielle, a fait savoir Dr Imine Bachir.
http://www.aeronautique.ma/Algerie-Oran-accueille-le-premier-congres-national-de-l-aeronautique_a1782.html
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Création de l'association Algérienne d'aéronautique
Les participants au premier congrès national de l’aéronautique ont convenu mardi à l’issue des travaux tenus à Oran de la création de l’Association algérienne d’aéronautique (3A).
Cette nouvelle association aura pour vocation “d’encourager les chercheurs dans le domaine aéronautique et de promouvoir leurs travaux auprès du secteur utilisateur”, ont souligné les organisateurs. Groupement de spécialistes, “3A” est également ouvert aux structures de formation, à l’instar des différents aéroclubs Algériens, a indiqué M. Imine Bachir, président du comité scientifique du congrès. Il a expliqué que les adhérents disposeront de tous les renseignements utiles à la valorisation de leurs travaux, tels ceux inhérents à la législation sur la propriété industrielle et le dépôt de brevets.
Le congrès national de l’aéronautique s’était ouvert lundi à l’Université des sciences et de la technologie “Mohamed Boudiaf” d’Oran (USTO) avec la participation de nombreuses compétences nationales activant en Algérie et à l’étranger. Les travaux se sont articulés autour de trois principaux axes, à savoir l’aérodynamique numérique et expérimentale, les matériaux et structure des avions et la commande des drones (petits avions sans pilote).
M. Imine Bachir qui dirige le Laboratoire d’aéronautique et des systèmes propulsifs de la faculté de génie mécanique de l’USTO, avait annoncé à cette occasion qu’un drone à usage environnemental sera bientôt réalisé par son équipe. Une dizaine d’universités du pays ont participé à ce congrès aux côtés de l’Ecole militaire polytechnique (EMP, Alger), de l’Ecole supérieure de l’Air (ESA) de Tafraoui (Oran) et de l’Entreprise de construction aéronautique (ECA, Tafraoui). Cette manifestation scientifique a été également marquée par la participation de M. Benallègue Abdelaziz, professeur et chercheur au Laboratoire d’ingénierie des systèmes de Versailles (France) et de M. Abdelkader Kherrat, ingénieur auprès de l’avionneur canadien Bombardier. Ces deux spécialistes algériens ont présenté deux communications sur “Les drones, un défi scientifique” et “La certification des structures aéronautiques, de la conception préliminaire au service après-vente”.
http://www.aeronautique.ma/Algerie-Creation-de-l-association-Algerienne-d-aeronautique_a1862.html
La construction du satellite algéro-sud-africain entamée en 2012
Le projet de construction d’un satellite entre l’Algérie et l’Afrique du Sud avance. Selon Sandile Malinga, directeur de l’agence spatiale nationale sud‑africaine, les deux pays devraient entamer la phase de construction du satellite l’an prochain. Sandile Malinga s’exprimait à l’occasion du Congrès international de l’aérospatiale qui se tient cette année au Cap et pour la première fois en Afrique.
Ce satellite de télédétection haute résolution fait partie du programme de la Constellation de satellite pour la gestion des ressources africaines (ARMS‑C) signé en 2009 entre l’Afrique du Sud, l’Algérie – à travers l’Agence spatiale algérienne – le Nigeria et le Kenya. Il devrait coûter 400 millions de dollars et la phase de construction doit durer trois à quatre ans.
L’Algérie avait lancé avec succès le satellite Alsat‑2 en juillet 2010. C’est un satellite d’observation de la Terre à haute résolution.
http://www.tsa-algerie.com/economie-et-business/la-construction-du-satellite-algero-sud-africain-entamee-en-2012_17579.html
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