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Textile et habillement

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Message  Admin Dim 23 Oct - 0:56

ALCOVEL (Algérienne des cotonnades et velours) www.alcovel.com
L'Entreprise Algérienne des Cotonnades et Velours (ALCOVEL-spa) est un complexe intégré comprenant une filiature, un tissage et un finissage produisant du velours d'habillement et d'ameublement ainsi que des toiles. En sus, cette unité dispose de capacités de prestations en coupes de velours, de finissage de velours et toiles ainsi que la teinture de filés.
produits:
-Velours d'ameublement : (Uni acrylique, Damier acrylique, Damier coton, Jacquard, Mélange coton acrylique).
-Velours d'habillement : (Trés fines côtes, Fines côtes, Moyennes côtes, Grosses côtes,Doubles côtes,).
-Toiles d'habillement.
-Support vêtements professionnels.
-Popeline.
-Tissus pour draps de lit.
-Divers tissus.
-Divers filés pour tissage (ecrus, blanc, Teint).

L'entreprise a été créée en date du 25 janvier 1998 dans le cadre de la filialisation. Elle est sis à la Zone Industrielle, BP 63 AKBOU - (W)BEJAIA
http://www.alcovel.com/presentation.htm

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Message  Admin Lun 9 Jan - 13:22

Les institutions militaires et paramilitaires seules à faire tourner le textile algérien


Les institutions militaires et paramilitaires restent les principaux clients- pour ne pas dire seuls- du textile algérien. Seulement 5% des besoins du marché local sont remplis par l’industrie nationale du textile. Le président de la FNT appelle les grandes entreprises publiques qui boudent encore le produit algérien « qui ne souffre pas de défauts » à s’approvisionner auprès des entreprises nationales.

L’Algérie ne produit que 5% de ces besoins en textiles, évalués 500 millions de mètres par an. Sa production annuelle s’élève annuellement 25 millions de mètres destinée principalement aux institutions militaires et paramilitaires. C’est le constat fait par le président de la Fédération nationale de textile (FNT), affiliée à l'UGTA, Amar Takdjout.
Intervenant sur les ondes de la radio nationale, le syndicaliste a encore une fois tiré la sonnette d’alarme sur ce secteur si « sinistré » depuis plus de 20 ans. Le secteur du textile fait travailler actuellement 12.000 travailleurs, celui de l’habillement, environ 4000 et la filière des cuirs emploient 3000 travailleurs.
Pour faire émerger ce secteur il faut, selon le syndicaliste, amener toutes les institutions de l’Etat qu’elles soient militaires ou civiles à passer des commandes chez les entreprises nationales du secteur. Il cite en exemple les secteurs de la santé, de l’éducation, de l’enseignement supérieur et les grandes entreprises publiques telle que Sonelgaz et la SNTF. « Par leurs éventuelles commandes, on peut doubler la production du textile et créer quelques 8000 emplois supplémentaires », a-t-il appuyé, ajoutant que l’Algérie consomme 50 millions de chaussures par an et elle n’en produit qu’un million entre privé et public.
« Si l’on parvient à glaner 10 à 15 % du marché local et amener les grandes entreprises publiques à remplir leur besoin chez les entreprises nationales, ces dernières affiliées au secteur public atteindraient le chiffre de 30.000 travailleurs et celles du secteur privé 150.000 », soutient-il.

Parvenir à couvrir 25 % des besoins
Les capacités de production actuelles de l’industrie algérienne du textile est 150 millions de mètres linéaires. L’objectif est de parvenir d’ici 2014 à couvrir à 20 ou 25 % les besoins selon un programme qui comprend de nouvelle création d’emplois et conclusions de partenariats, a révélé le syndicaliste.
Sur le programme de la mise à niveau des entreprises auquel l’Etat a consacré 13500 milliards de DA sur les 5 prochaines années, Amar Takdjout considère cette mesure « objective » dans la mesure où elle permet de rétablir les entreprises dans la sphère économique, mais il faut qu’il y ait un « suivi » et une « continuité ».
L’industrie du textile et des cuirs a été l’une des plus florissantes dans les années 70 et 80. Dans les années 80 il y avait des entreprises publiques environ 45.000 emplois dans le textile, 16.000 dans les cuirs, a rappelé l’orateur. Quelques 4000 petites entreprises privées spécialisées ont émergées dans la confection, filière qui emploie entre 200.000 et 250.000 travailleurs. Au milieu des années 90 en raison d’une crise de l’endettement extérieur en Algérie, le plan de redressement structurel, imposé par le FMI, a ordonné la privatisation et la fermeture des entreprises moribondes. L’ industrie du textile a enregistré un net recul, aggravé par l’ouverture du commerce extérieur aux importations. Dans ce contexte ce secteur « les 4000 entreprises privées ont été dissoutes et les entreprises publiques restructurées ou fermées dans certaines régions. On a perdu durant cette période entre 250.000 et 300.000 emplois dans le secteur public et privé ».

http://maghrebemergent.info/politiques-publiques/64-algerie/7633-les-institutions-militaires-et-paramilitaires-seules-a-faire-tourner-le-textile-algerien.html

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Message  Admin Lun 23 Jan - 12:23

Confection et habillement : Le groupe public veut rebondir sur le marché

En vue d'un ambitieux programme de développement lui permettant d'augmenter à 10% à moyen terme ses parts dans un marché fortement concurrentiel, le groupe public de la confection et de l'habillement a bénéficié d'une enveloppe financière de plus de 10 milliards de DA, a indiqué hier, le P-DG du groupe. Cette enveloppe financière dont 5,6 milliards DA seront destinés à la modernisation des équipements, 223 millions DA pour la formation des ouvriers et des cadres du secteur et 721 millions DA pour la réhabilitation des sites de production, s'inscrit dans le cadre de la relance du secteur. M.Ahmed Benayad qui a souligné l'importance de l'investissement dans les machines de production pour réussir ce plan, a fait savoir que des cadres du groupe avaient visité dernièrement la foire de Barcelone pour s'enquérir des nouvelles technologies dans le domaine de la manufacture. "On a une idée très précise sur l'investissement qu'on va réaliser parce qu'on a déjà investi dans le matériel", a fait remarquer le gestionnaire du seul groupe public d'habillement en Algérie. C'est dans ce cadre que CH a lancé, il y a quelques jours, un avis d'appel d'offres international pour l'acquisition de machines spécialisées notamment dans la bonneterie et dans la fabrication de vêtements professionnels destinés surtout aux corps constitués, et de vêtements pour le grand public. Au volet formation, M. Benayad a estimé qu'elle serait la priorité du groupe avant même le lancement des investissements et l'acquisition des équipements. Selon le P-DG, le personnel qualifié se raréfie à mesure qu'il n'y a plus de formations et de formateurs dans ce domaine, l'institut de Boumerdès, qui formait des ingénieurs et des techniciens spécialisés dans la manufacture ayant fermé il y a une dizaine d'années. La fermeture de cette école a pénalisé le développement de l'industrie de la manufacture, précise encore le gestionnaire. Afin de pallier cette insuffisance, le groupe avait pris ses dispositions depuis deux ans en créant un centre de formation à Béjaïa spécialisé dans les métiers de maîtrise, base de la filière confection et habillement, notamment le contrôle de qualité et la gestion de la production. Un autre centre a été créé à Saïda pour former des mécaniciens et des régleurs spécialisés dans l'entretien des machines de production, a ajouté le P-DG de ce groupe qui emploie 3.000 agents répartis sur 15 entreprises de production. M. Benayad a également fait état de la création prochaine d'une école spécialisée dans la formation d'ingénieurs et de techniciens supérieurs dans le domaine de la manufacture, selon les orientations du Conseil des participations de l'Etat. Soulignons enfin que le groupe, qui consacre la quasi-totalité de la production pour les corps constitués, ambitionne de porter sa part de marché de 2% à 10% pour le grand public à l'horizon 2015. (Lyna.D)
http://lemaghrebdz.com/lire.php?id=42256

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