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Recherche scientifique en Algérie, considérations générales

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Recherche scientifique en Algérie, considérations générales Empty Re: Recherche scientifique en Algérie, considérations générales

Message  Admin Dim 30 Oct - 1:21

Avant de parler de la R&D, pour ne pas sortir du sujet, je ne vais pas m'étaler mais il faut préciser que l'Algérie compte 6,5 millions d’analphabètes, ce qui veut dire 19% de la population Algérienne (ou 1/5) est d’analphabète.

Source: http://www.tsa-algerie.com/divers/l-algerie-compte-pres-de-6-5-millions-d-analphabetes_17961.html



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Message  Admin Ven 11 Nov - 2:37

Recherche scientifique : L’Algérie table sur 60.000 chercheurs en 2020
• Le secteur bénéficie d’un budget de 100 milliards de dinars pour la période 2008-2013.

08-11-2011

Le système national de documentation en ligne a ouvert plus de 60.000 accès aux universitaires.

L’Algérie, qui a été classé au premier trimestre 2010 par l’UNESCO à la troisième place africaine en matière de recherche scientifique, après l’Afrique du Sud et l’Egypte, accorde un intérêt certain à ce domaine qui bénéficie d’un important budget de 100 milliards de dinars mobilisé pour la période allant 2008 - 2013.

Certes, les capacités nationales en matière de recherche restent encore en deçà des normes internationales qui exigent 2000 chercheurs pour un million d’habitants alors que l’Algérie ne dispose encore que de 600 chercheurs par million d’habitants, contre 4300 en France ou encore 5600 au Japon, mais faut-il souligner que le nombre de publications scientifiques ont sensiblement augmenté en 2009, l’année durant laquelle elles ont atteint les 20.000 publications.

Concernant le nombre des chercheurs algériens, le ministère de la tutelle indique que les enseignants-chercheurs ont atteint 17000 dont 1900 permanents. L’objectif est d’arriver à l’horizon 2020 à quelque 60.000 chercheurs, d’où le lancement de 34 programmes de recherche scientifique touchant divers secteurs d’activités (santé, ressources en eau, énergies renouvelables, agriculture, technologies de l’information et de la communication), conçus de manière à répondre à certaines préoccupations socioéconomiques.
Et les grandes orientations de la politique scientifique pour les prochaines années, sont clairement identifiées dans la loi programme 2008-2012 sur la recherche scientifique et le développement technologique.

Une enveloppe de 5 milliards de dinars a été dégagée pour les 34 programmes dont le financement moyen varie entre 3 et 10 millions de dinars, selon le programme avec pour objectif de réaliser 3000 projets de recherche en deux ans.
Par ailleurs, dans la série de mesures prises en vue de relancer le secteur de la recherche, l’Etat a également décidé de rétribuer l’activité de recherche depuis la signature en janvier dernier des contrats par les chercheurs inscrits aux Programmes nationaux de recherche (PNR).
«Tout chercheur disposant d’un projet PNR agréé percevra cette rétribution qui, en fonction de ses activités, pourra être reconduite ou arrêtée», a indiqué le directeur de la recherche scientifique, M. Hafid Aoureg lors de l’annonce de la signature des contrats.
Ainsi, tout chercheur hospitalo-universitaire ou enseignant chercheur participant aux programmes nationaux de recherche et dont les travaux ont été publiés peut bénéficier de la prime mensuelle allant de 45.000 DA pour le professeur à 20.000 DA pour le maître-assistant de classe B. Pour les responsables d’unités de recherche régulièrement nommés, la prime est fixée à 20.000 DA pour le directeur de l’unité et à 10.000 DA pour le chef d’équipe. Cette fourchette varie selon les diplômes, l’expérience et la compétence de chaque chercheur. Cette rétribution qui se veut «une reconnaissance de l’Etat pour l’élite du pays, ses compétences et son excellence», vient aussi «distinguer l’excellence de la médiocrité», d’où l’importance, de l’évaluation des travaux qui sera faite par les experts des comités sectoriels de manière individuelle et non pas par programme de recherche.

Et dans cette perspective d’améliorer l’environnement de la recherche nationale, un système national de documentation on line a été aussi lancé avec plus de 60.000 accès déjà ouverts aux enseignants, étudiants en master et doctorants inscrits dans les laboratoires de recherche. Le système permet aux chercheurs, grâce à un mot de passe attribué, d’accéder à toutes les bases de données à travers le monde pour pouvoir télécharger toute la documentation nécessaire à leurs travaux de recherche.
Tant d’efforts déployés en vue aussi d’améliorer le mauvais classement des universités algériennes et d’améliorer leur visibilité à l’international puisque la publication des travaux de recherches demeure un élément déterminant dans le classement des établissements universitaires.
http://www.elmoudjahid.com/fr/actualites/19305

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Message  Admin Ven 11 Nov - 18:47

L'Algérie renforce fortement son budget scientifique
Toufik Bougaada 10 juin 2010

Le parlement algérien a approuvé un projet de loi permettant au pays de consacrer 100 milliards de dinars (US$ 1,48 milliard) à la science sur cinq ans.

Pour Abdelhafid Awrag, chef du Département de la recherche scientifique au ministère algérien de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, ce budget - exceptionnellement élevé pour un pays du monde arabe - "vise à inverser la fuite des cerveaux et à ramener nos scientifiques au bercail".

Approuvé le mois dernier (23 mai), le projet de loi doublera les dépenses nationales allouées à la recherche scientifique, qui passent ainsi de 0,5 à un pour cent du PIB - loin devant les 0,2 pour cent de moyenne dans les pays arabes, explique Awrag.

Quelque 34 programmes de recherche seront exécutés au cours de la première phase du projet, tandis que le nombre de chercheurs passera de 21 000 à 28 000 et le nombre de laboratoires scientifiques à 1 200 en cinq ans, a-t-il affirmé.

"Ces chiffres seront certes toujours en deçà des normes européennes de 600 chercheurs par million d'habitants, mais ils représentent un énorme pas en avant".

Des programmes financés couvrent des domaines tels que l'agriculture, la santé et l'énergie, avec un accent sur la recherche appliquée et la technologie.

Selon des sources du milieu universitaire, près de 150 chercheurs talentueux travaillant au Canada, en Europe ou aux États-Unis ont exprimé la volonté de retourner au pays, mais attendent toujours d'avoir l'assurance qu'ils seront en sécurité et économiquement à l'aise, accompagnés de leurs familles.

Pour Ali Bougaroura, recteur de l'Université de Mila, ce nouveau projet "permettra de faire à un bond prodigieux dans le domaine de la recherche scientifique, parce qu'il réduit la bureaucratie et offre aux centres de recherche plus d'autonomie dans la prise de décisions, notamment dans le financement des projets".

Pourtant, il ne juge pas nécessaire d'inverser la fuite des cerveaux à l'ère de la communication virtuelle.

"Les chercheurs algériens peuvent participer activement aux programmes de recherche nationaux, sans vivre pour autant de façon permanente en Algérie. Leur présence dans les pays développés est plus précieuse, parce qu'ils peuvent en extraire des connaissances et de l'expertise et les transmettre à des collègues restés au pays."

Pour Jaffal Ammar, directeur de laboratoire à l'Université d'Alger, "la bureaucratie est le principal obstacle au développement de la recherche scientifique".

"Soixante pour cent du budget de recherche est consacré aux dépenses administratives. La recherche scientifique en Algérie ne progressera pas en l'absence d'une volonté politique de donner aux chercheurs suffisamment d'autonomie pour agir".

"Nous devons mettre sur pied une base de données recensant les chercheurs et leur expertise, et combler le fossé entre la recherche universitaire et les besoins réels de l'économie", a-t-il ajouté.

Le 30 mai dernier, le ministère de l'Enseignement supérieur a lancé un appel à propositions en direction des chercheurs, propositions qui seront évaluées par un comité international d'experts. Des contrats de deux ans seront signés avec les chercheurs en novembre.

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Message  Admin Ven 11 Nov - 19:07


Université de Béjaïa : 41 projets de recherche au profit des entreprises

Des équipes totalisant 174 chercheurs de l’université de Béjaïa viennent de lancer 41 petits projets de recherche destinés à développer de nouveaux produits innovants au profit des entreprises locales.

Ces projets de recherche profiteront notamment aux PME (petites et moyennes entreprises) et TPE (très petites entreprises) pour rapprocher leurs besoins et l’offre d’innovation de l’université. Ces projets de recherche ont été agréés par la direction de la recherche scientifique du ministère de tutelle dans le cadre du plan national de la recherche (PNR). Un plan auquel un budget de 5 milliards de dinars est mobilisé pour financer 34 programmes nationaux de recherche (PNR). Ces programmes ont été définis par l’article 10 de la loi du 23 février 2008 portant loi d’orientation et de programme à projection quinquennale sur la recherche scientifique et le développement technologique 2008-2012.

Ainsi, ces projets de recherche tenteront de rattraper l’immense retard marqué par le peu d’intérêts des entreprises pour un rapprochement avec l’université et les centres de recherche. Dans le domaine minier, un projet porte sur la minéralurgie des minerais sulfurés. Une application sera menée sur le plomb-zinc du gisement d’Amizour, classé 5e dans le monde. Dans le domaine des énergies alternatives, un groupe de chercheurs s’attellera à modéliser et optimiser des systèmes d’énergies renouvelables au profit d’une PME implantée à Béjaïa. Deux autres projets seront menés au profit de Sonelgaz. Le premier consistera en la production et l’amélioration de la qualité d’énergie renouvelable. Le second portera sur une étude et conception des convertisseurs d’énergie à entrées multiples destinés au système d’énergie renouvelable multi-sources.

énergie solaire et photovoltaïque

Autre projet : optimisation de la qualité de l’énergie électrique et des performances des installations solaires à Béjaïa. Une PME locale bénéficiera également d’un projet de dimensionnement et d’optimisation des systèmes de pompage photovoltaïque. Dans l’agroalimentaire, un projet de recherche portera sur la mise en œuvre et l’application de nano-bio composites en emballage alimentaire au profit de l’entreprise Meriplast. Dans le secteur de l’eau, des chercheurs se pencheront sur l’évolution de la ressource en eau du bassin versant de la Soummam. Un diagnostic et des propositions d’outil de gestion seront faits au profit de l’Institut national des ressources hydriques (INRH).

Dans le domaine de l’environnement, un projet portera sur le recyclage des déchets plastiques et des déchets en papier de la ville de Béjaïa. Dans le domaine phytothérapie deux projets seront mis au profit de l’Institut national de recherche agronomique (INRA) : le premier portera sur la recherche de molécules bioactives de plantes médicinales locales. Le deuxième consistera en l’identification et la valorisation des plantes médicinales et aromatiques du nord de l’Algérie. Enfin, dans le secteur de la mécanique, un projet vise à développer des produits pour l’ingénierie mécanique. Le but de ces projets est de mettre en avant le travail des chercheurs et coller au plus près des besoins des entreprises qui n’ont ni du temps ni de l’argent et qui pourraient y gagner à s’appuyer sur la recherche sur la base d’échanges «gagnant-gagnant».

Ce qui est une aubaine pour les PME et les TPE. Si les grandes sociétés disposent de fonds suffisants pour financer leur recherche, il en va tout autrement pour les petites entreprises. De quelles sources de financement disposent-elles quand les banques ne sont pas prêtes à les suivre ?

A l’échelle nationale, 2577 projets de recherche ont été acceptés par la commission d’évaluation du PNR. Ces projets impliquant quelque 13 700 chercheurs. Un outil d’évaluation a été mis en place : les chercheurs travailleront sur la base d’un cahier de projet, instrument censé «assurer une traçabilité et un suivi de l’évolution des travaux de recherche». Les chercheurs consigneront leurs travaux dans des rapports bimestriels et semestriels en gardant une trace écrite des travaux de recherche. Dans certaines disciplines, ces rapports peuvent servir de preuve matérielle sur l’originalité et l’antériorité de la mise en œuvre d’une idée, d’un procédé, d’un brevet ou d’une innovation.

Ces travaux de recherche offriront aux entreprises locales une possibilité d’innovation à concevoir et à développer les solutions technologiques. C’est bien sur ce terreau que ces travaux de recherche devront capitaliser leurs efforts, l’innovation étant un facteur différenciant majeur pour les entreprises.

Algerian Energy Company nous écrit

Faisant suite à l’article paru dans les colonnes du supplément hebdomadaire n°302 d’El Watan Economie page : II L’Actualité du 03 au 09 Octobre 2011, nous vous demandons d’insérer la mise au point suivante :

1) Effectivement le projet de dessalement d’eau de mer de Ténès connaît un retard dans sa réalisation par rapport aux engagements pris par le constructeur. La suspension du paiement pour le constructeur est une conséquence contractuelle du non respect par ce dernier du planning de construction. Le constructeur est tenu de remédier à cette situation pour prétendre à la reprise de paiements en respect des dispositions contractuelles.

2) Algerian Energy Company est le promoteur du projet de dessalement d’eau de mer et non pas le maître de l’ouvrage comme mentionné dans l’article. AEC ne gère pas les paiements du projet qui relèvent de la société de projet maître de l’ouvrage dénommée Ténès Lilmiyah et qui est une société par actions détenu à 49% par AEC et 51% par la société espagnole Befesa.

Il est regrettable encore une fois que ces informations soient publiées sans confirmation ou vérification préalable auprès l’AEC qui est nommément citée dans votre article.

Mohamed DJEDDI- Directeur de Projets Algerian Energy Company spa
http://www.elwatan.com/economie/universite-de-bejaia-41-projets-de-recherche-au-profit-des-entreprises-10-10-2011-142807_111.php

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Message  Admin Jeu 1 Déc - 15:33

Recherche scientifique : Les experts préconisent de cibler la “recherche pratique”
Dans le cadre de ses activités scientifiques, l’Agence nationale de valorisation des résultats de la recherche a organisée hier, un atelier d’évaluation du projet « Charbon naturel pour le traitement des eaux ».

PUBLIE LE : 01-12-2011

(...)
En marge de la présentation de son projet de recherche, M. Arrar a évoqué la situation des chercheurs en Algérie, indiquant que celle-ci « a commencé à réellement changer, positivement, par rapport aux années précédentes ».
Il dira dans ce sens que « depuis le lancement du programme national de recherche contenu dans le fameux Projet national de recherche (PNR), tout chercheur universitaire ne peut proposer son projet « qu’avec des partenaires sociaux économique ».
D’après lui, ce qui reste à faire, est surtout d’œuvrer à la consolidation de la relation entre le secteur industriel et l’université, tout en tenant à préciser que « l’université et l’entreprise, sont en principe, deux éléments inséparables », partant du fait que « l’économie nationale ne peut pas avancer si cette relation n’existe pas entre les deux entités ».
En ce qui concerne l’état de la recherche scientifique en Algérie, l’expert universitaire a souligné que la recherche actuelle « est malheureusement trop fondamentale, c’est pour cela qu’elle ne sert pas beaucoup » a-t-il dit, préconisant dans ce contexte, une seule option : « nous devrions nous orienter vers des axes de recherches et faire de la recherche pratique ».
Makhlouf Ait Ziane

http://www.elmoudjahid.com/fr/actualites/20330

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Message  Admin Dim 4 Déc - 14:48


Recherche scientifique et développement technologique : 1.200 chercheurs, ingénieurs et TS à recruter prochainement

La direction de la recherche scientifique et du développement technologique du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique (MESRS) a lancé un appel pour le recrutement au titre de l’année 2012 de pas moins de 1.200 chercheurs, ingénieurs et techniciens supérieurs à travers les universités du pays, apprend-on dans une correspondance datée du 23 novembre dernier adressée à la présidente de la Conférence régionale centre. Ainsi, selon la correspondance, 400 chercheurs permanents de grade doctorat et magistère 300 ingénieurs chercheurs titulaires de doctorat magistère, 300 ingénieurs justifiant d’un diplôme d’ingénieur ou mastère II et 200 techniciens de rang TS, DEAU ou équivalent seront prochainement recrutés pour renforcer les équipes de recherches exerçant actuellement dans des laboratoires des universités et les instituts implantés à travers le territoire national. La direction de la recherche scientifique et du développement technologique a instruit les recteurs des universités d’assurer une large diffusion de cet appel pour informer tous les titulaires des diplômes exigés par les postes à pourvoir et leur permettre de postuler.
B. A.
http://www.elmoudjahid.com/fr/flash-actu/6231

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Message  Admin Jeu 8 Déc - 13:24

JEUDI, 08 DÉCEMBRE 2011 08:28
Alérie - 745 demandes de brevets d’invention déposées auprès de l’INAPI en 2011

Un total de 745 demandes de brevets d’invention ont été déposées auprès de l’Institut national algérien de la propriété industrielle (INAPI) durant les dix premiers mois de l’année 2011, a indiqué mercredi un responsable de l’institut. A fin octobre dernier, l’INAPI "a enregistré 80 dépôts de demandes classiques (valables à l’échelle nationale) de résidents, 23 demandes de non-résidents, et 642 demandes internationales, soit un total de 745 demandes", a expliqué le directeur des brevets au sein de l’institut, Mohamed Amine Hadjouti, lors d’une conférence en marge du 1er salon national de l’innovation industrielle. L’institut prévoit pour l’année 2011 une légère baisse du nombre des brevets par rapport à 2010 qui a enregistré 806 demandes. M. Hadjouti explique cette baisse par l’augmentation des droits de dépôt à l’international PCT (Patent Cooperation Treaty), suite à la révision en 2010 des taxes relatives aux demandes de brevets par les instances internationales concernées. L’INAPI a enregistré 642 demandes internationales PCT administrées par l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI), durant les dix premiers mois de 2011, contre 692 en 2010, précise M. Hadjouti. "Depuis l’adhésion de l’Algérie au traité de coopération en matière de brevets, l’INAPI a enregistré 59 brevets entrant en phase internationale", a-t-il ajouté. Par ailleurs, la durée de traitement des demandes de brevets d’invention déposés en 2010 a dépassé la durée réglementaire de 12 mois, mais les demandeurs peuvent obtenir leur brevet à partir du mois de janvier 2012, selon ce même responsable. (APS)
http://maghrebemergent.info/actualite/fil-maghreb/6799-algerie-745-demandes-de-brevets-dinvention-deposees-aupres-de-linapi-en-2011.html

Attendre une année pour voire son prevet inscrit No et pourquoi ne pas subventionner au moins une partie des frais.

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Message  Admin Mar 13 Déc - 13:40

La recherche scientifique en Algérie souffre d’un déficit en infrastructures (responsable)

Le déficit en infrastructures de recherche constitue le principal handicap de la recherche scientifique en Algérie, a indiqué lundi Hafidh Aourag, directeur général de la recherche scientifique et du développement technologique au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. Dans ce cadre, M .Aourag, a annoncé à l’ouverture des travaux de la seconde session du Comité Sectoriel Permanent qui a eu lieu à l’unité de développement des équipements solaires (UDES) de Bou Ismail (Tipasa), la construction prochaine de 1000 laboratoires de recherche afin de rendre "performante" la recherche scientifique en Algérie qui, jusque-là "a squatté les infrastructures des universités qui ne répondent ni aux normes ni aux cahiers des charges", a-t-il précisé. Ce déficit, considéré comme le problème numéro 1 auquel est confrontée la recherche scientifique, "sera pris en charge dans le cadre de la nouvelle loi d’orientation de la recherche scientifique en cours de préparation et qui fera l’objet d’une discussion pendant les deux journées des travaux de cette deuxième session du Comité Sectoriel Permanent, installé au début de l’année 2011", a ajouté M. Aourag. Cette seconde session du CSP a débuté par la discussion sur l’élaboration de la nouvelle loi d’orientation scientifique et la mise en place de groupes de travail thématiques qui aborderont les problèmes de la recherche scientifique en Algérie qui occupe quelque 1500 chercheurs et 20.000 enseignants chercheurs. Ces deux jours de travaux (12 et 13 décembre) seront également mis à profit pour faire une évaluation des projets PNR (plans nationaux de recherche), mettre en place une cellule de recherche pour la finalisation de l’évaluation des 320 nouvelles propositions de création d’entités de recherche et examiner les modalités d’évaluation des bilans triennaux (2009-2010-2011) des 400 laboratoires de recherche. Il s’agit aussi de faire le bilan des audits des 63 laboratoires et d’étude des propositions de budgets triennaux pour les années 2012, 2013 et 2014. (APS)
http://maghrebemergent.info/actualite/fil-maghreb/6932-la-recherche-scientifique-en-algerie-souffre-dun-deficit-en-infrastructures-responsable.html

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Message  Admin Mer 14 Déc - 15:30

Les Algériens de Belgique interpellés par le programme sur les énergies renouvelables de leur pays

Des opérateurs algériens dans le secteur énergétique installés en Belgique se sont dit ’’prêts’’ à accompagner leur pays dans sa nouvelle politique en matière d’énergies renouvelables, présentée à Bruxelles lors d’une rencontre de haut niveau entre l’Algérie et l’Union européenne sur le développement du partenariat dans ce domaine.
Lors de la rencontre de haut niveau à Bruxelles, le ministre de l’énergie et des mines, Youcef Yousfi, avait exposé la stratégie énergétique de l’Algérie qui, a-t-il rappelé, repose sur l’accélération du développement de l’énergie solaire, prévoyant le lancement de projets solaires photovoltaïques d’une capacité totale d’environ 800 MW d’ici 2020, et de porter à 40 % la part des énergies renouvelables dans la production d’électricité destinée à la consommation nationale d’ici 2030.
Pour Farid Zidazi, chef d’entreprise activant dans l’instrumentation industrielle et l’économie d’énergie, cette rencontre de haut niveau permet aux compétences nationales établies à l’étranger d’avoir une ’’meilleure visibilité’’ sur les besoins du pays en matière de développement des énergies renouvelables, un créneau où le transfert de technologie peut s’opérer.
’’Ma présence, comme invité parmi la délégation européenne à l’énergie, me permettra, dois-je l’espérer, d’apporter ma pierre à l’édifice, en répondant positivement à l’appel lancé par le ministre de l’énergie aux Européens pour apporter leur savoir-faire dans le domaine, en matière de formation et de partage d’expérience, notamment’’, a confié l’entrepreneur, spécialisé depuis 20 ans dans le remplacement de tout ce qui est éclairage par lampe ou gaz par l’éclairage LED de type européen
Pour Hamid Aït Abderrahim, chercheur dans l’énergie nucléaire, l’approche développée par les responsables algériens de l’énergie à la rencontre de Bruxelles est ’’extraordinaire’’ parce qu’elle représente une ’’vision intégrée et à long terme’’.
’’On ne fait pas un projet (exemple Sonelgaz-Desertec) seulement pour produire de l’énergie, mais on utilise ce vecteur énergétique comme un vecteur de développement local’’, a indiqué Aït Abderrahim, directeur du Centre de l’énergie nucléaire de Mol (Belgique). (APS)
http://www.maghrebemergent.info/actualite/fil-maghreb/6966-les-algeriens-de-belgique-interpeles-par-le-programme-sur-les-energies-renouvelables-de-leur-pays.html

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Message  Admin Lun 2 Jan - 14:10

Plus de 5000 brevets d’invention en attente de concrétisation en Algérie

ALGER - Plus de 5000 brevets d’invention de chercheurs algériens dans différents domaines, étaient en attente de concrétisation dans le monde de l’industrie, a révélé le directeur de la recherche scientifique et du développement technologique au Ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Abdelhafid Aourag.
"Le nombre de brevets d’invention a atteint 5200 brevets en Algérie, ce qui dénote l’intérêt accordé aux chercheurs algériens à l’instar de leurs homologues dans le monde. Cependant, ces brevets sont restés lettres mortes, car n’ayant pas été concrétisés sur le terrain", a déploré M. Aourag. La mission du chercheur, a-t-il précisé, se termine lorsque ce dernier présente le prototype d’invention après avoir effectué une série de tests et d’expériences.
"Il incombe par la suite au ministère de l’Industrie de concrétiser l’invention sur le terrain, de fixer sa valeur et de l’exploiter en fonction de son importance pour l’industrie et l’économie nationales", a-t-il expliqué. Partant de ce principe, l’Etat doit prendre des risques d’investissement dans le domaine de l’invention et de l’innovation scientifiques et technologiques, a-t-il estimé.
"Cette entreprise hasardeuse, peut échouer au début, mais sera, nul doute, sanctionnée de succès lors des prochaines tentatives", a-t-il indiqué, estimant que "les pertes occasionnées seront récupérées à travers la prise en charge effective des inventions dans le monde de l’industrie.
Il a par ailleurs fait savoir que les banques algériennes manquent d’initiative en matière d’investissements scientifiques. Il a de ce fait appelé à "l’intégration des bureaux de l’Agence nationale de soutien à l’emploi de jeunes et les autres dispositifs d’emploi dans les établissements universitaires afin qu’ils servent au mieux les projets d’invention, en général, et les recherches scientifiques appliquées, en particulier.
Il a expliqué que le financement des projets d’invention, contribuera à leur concrétisation, ce qui constituera un apport considérable pour l’industrie et l’économie nationales de même pour la création de postes d’emploi.
M. Aourag a ajouté que tous les projets financés par les agences de soutien à l’emploi de jeunes constituent "une valeur ajoutée" pour l’industrie et à l’économie nationales, car il s’agit de projets producteurs et transmetteurs de technologie au profit du pays".
M. Aourag a, dans ce contexte, rappelé le brevet d’invention algérien relatif à un vaccin pour animaux adopté récemment à l’échelle internationale, soulignant que ce vaccin "a prouvé son efficacité" dans le traitement de certaines maladies qui touchent les animaux. Il a, à cet effet, appelé les responsables de Saidal et les parties concernées en général à "s’intéresser à ce vaccin afin de le produire localement au lieu de l’importer de l’étranger".
Les expositions consacrées aux innovations demeurent pour les chercheurs algériens le meilleur espace pour faire connaître leurs travaux scientifiques et susciter l’attention des opérateurs économiques et des industriels susceptibles de prendre en charge leurs projets.
A l’occasion de l’ouverture de l’année universitaire 2011-2012 à Laghouat, une exposition a été organisée sur les travaux et les innovations de chercheurs universitaires algériens de différentes régions du pays. Parmi les travaux exposés figurent le projet de conception et de réalisation d’un hélicoptère-drone par des chercheurs de l’université de Blida, un détecteur de tsunami et un générateur électrique magnétique qui ne nuit pas à l’environnement.
Un appareil intelligent de détection des fissures à l’intérieur des pipelines a également été présenté lors de l’exposition. Cet appareil, utilisé actuellement par Sonatrach, a donné à l’Algérie une indépendance dans ce domaine. Un total de 745 demandes de brevets d’invention ont été déposées auprès de l’Institut national algérien de la propriété industrielle (INAPI) durant le premier semestre de l’année 2011.
L’INAPI a enregistré 80 dépôts de demandes classiques (valables à l’échelle nationale) de résidents, 23 demandes de non-résidents et 642 demandes internationales, soit un total de 745 demandes. Depuis l’adhésion de l’Algérie au traité de coopération en matière de brevets d’invention, l’Institut national algérien de la propriété industrielle a enregistré 59 brevets d’invention entrant en phase internationale.

http://www.aps.dz/Plus-de-5000-brevets-d-invention.html

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Message  Admin Dim 8 Jan - 15:53

Algérie - 100 milliards DA pour la recherche dans le cadre du programme 2010-2014

L’Etat a affecté 100 milliards DA à la recherche scientifique et technologique à raison de 20 milliards DA par an au titre du plan quinquennal de la recherche scientifique 2010-2014, a souligné jeudi le ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, M. Rachid Harraoubia.
L’Algérie se dirige vers la recherche scientifique appliquée, c’est pourquoi le ministère de l’Enseignement supérieur a tracé un programme permettant la réalisation de 1.200 laboratoires de recherche au niveau national, sachant que l’Algérie dispose actuellement de 1.150 laboratoires accrédités activant dans divers domaines dont 200 laboratoires spécialisés dans la recherche en sciences humaines, a souligné le ministre.
10.700 projets de recherches scientifiques ont été sélectionnés parmi lesquels 5.000 feront prochainement l’objet d’évaluation, a-t-il ajouté. Les efforts consentis par l’Etat "visent l’édification d’un système de recherche et ont permis des réalisations positives notamment pour les recherches publiées", a encore rappelé le ministre.
Dans ce contexte, M. Harraoubia a indiqué que le nombre de publications classées a atteint 32.000 dans divers domaines durant les dix dernières années, selon le site international de la recherche scientifique.
L’Algérie occupe la 4ème place en Afrique pour ce qui est des recherches publiées, la 1ère en Afrique et la 40ème au monde pour les recherches en sciences de la matière et la 51ème place pour la physique et la chimie.
Ces places sont "honorables", a-t-il estimé soulignant toutefois la nécessité de poursuivre la recherche scientifique notamment sur les différents aspects de l’environnement socio-économique.
Le ministère de l’enseignement supérieur installera des cellules et commissions mixtes en vue de rapprocher les chercheurs des différentes entreprises économiques et industrielles et veillera à l’ouverture de centres de développement et de recherche technologique, a conclu le ministre. (APS)

http://maghrebemergent.info/actualite/fil-maghreb/7617-algerie-100-milliards-da-pour-la-recherche-dans-le-cadre-du-programme-2010-2014.html

20 milliards de dinars (=265 millions $) par rapport à un PIB d'environs 170 milliards $ ça fait un rapport de 0,15%

La Corée du sud parle de 5% en 2012. Israël fait du 4% depuis pas mal d'années.
No nous resterons des tiers-mondistes à jamais.

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Message  Admin Jeu 12 Jan - 12:47

Algérie - Sonelgaz consacre seulement 250 millions de dinars/ an à la R&D

Sonelgaz a réalisé un chiffre d’affaires de 250 milliards de dinars en 2011 mais n’a consacré que 250 millions de dinars à la Recherche et Développement. Son PDG Noreddine Bouterfa souhaite augmenter ce montant à 1 milliard de dinars dans les années à venir. Un des projets soutenus par le groupe énergétique algérien est celui d’un compteur de gaz intelligent made in Algeria qui sortira en 2013.

« Si on arrive à 1 milliard de dinars ce sera très bien », a déclaré le patron de Sonelgaz aujourd’hui mercredi à Alger, en marge de la cérémonie de signature d’une convention-cadre avec l’université de Chlef. Il a précisé, cependant, que pour augmenter ce montant, il faudrait naturellement qu’il y ait des projets de recherche à financer.

Le groupe, a indiqué Noreddine Bouterfa, est en train de créer un tissu de coopération scientifique avec les universités algériennes. Il a déjà signé plusieurs conventions avec les universités de Boumerdès, de Guelma et d’Annaba. La convention-cadre signée entre une de ses filiales, le Centre de recherche de l’électricité et du gaz (CREDEG), et l’Université Hassiba Ben Bouali de Chlef, sera suivie d’autres, spécifiques, a expliqué son PDG. La première concernera la conception d’un compteur gaz intelligent.
(...)
http://maghrebemergent.info/entreprises/60-algerie/7749-algerie-sonelgaz-consacre-seulement-250-millions-de-dinars-an-a-la-recherche-et-developpement.html
250 millions de dinars de R&D sur 250 milliards dinars de chiffre d'affaire ça fait du 0,1% à la R&D alors que d'autre groupes du même calibre font du 10%.

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Message  Admin Dim 15 Jan - 13:46

Deux cents chercheurs algériens sont revenus au pays en 2011 Merouane Mokdad

Deux cents chercheurs algériens vivant à l’étranger sont retournés au pays en 2011. L’annonce a été faite dimanche par Abdelhafid Aourag, directeur de la recherche scientifique au ministère de l’Enseignement supérieur, invité de la chaîne III de la radio nationale.

Pour illustrer son propos, il a évoqué le recrutement cette semaine par l’université de Chlef et de Saïda de deux chercheurs en génomique et en biologie moléculaire. « Ces deux chercheurs publient leurs travaux dans la revue de référence Nature. Cela veut dire que des chercheurs de haut niveau reviennent parce que leur situation socio‑économique dans le pays a été nettement améliorée. Nous essayons, dans la mesure du possible, de garantir au chercheur le même environnement qu’il a déjà à l’étranger. Il est vrai qu’il y a une année, la situation de l’enseignant n’était pas reluisante. Personne n’était tenté de revenir. Aujourd’hui, le niveau social a été relevé. Un statut a été donné à l’enseignant. Les conditions ont donc changé. Je suis sûr que dans les années qui viennent, ce processus de mobilité va se renverser. Nous aurons plus de chercheurs qui reviennent que ceux qui repartent », a‑t‑il expliqué.

Pourtant, 50 % des étudiants qui partent à l’étranger ne retournent pas au pays. Entre 1994 et 2006, 71 000 chercheurs et cadres ont quitté l’Algérie. « Il faut positiver la fuite des cerveaux. Avoir autant de chercheurs algériens à l’étranger, c’est avoir autant de capacités potentielles qui pourront être mises au service de l’Algérie. Nous avons mis en place des mécanismes pour permettre à ces chercheurs d’interagir avec leurs collègues en Algérie. Les textes sont encourageants du point de vue rémunération. Leur voyage et hébergement sont pris en charge par l’État pourvu qu’ils nous apportent un plus avec un projet structurant », a souligné Abdelhafid Aourag. Il a plaidé pour le rapprochement de l’université du monde socio‑économique en encourageant la mobilité des compétences dans les deux sens et a insisté sur la durabilité de la recherche. Il est important, selon lui, de dépasser les programmes nationaux de recherche et les opérations ponctuelles.

Trente‑quatre programmes nationaux ont été retenus lors du précédent plan quinquennal qui s’achève en 2012. Un plan doté de 100 milliards de dinars. « Aujourd’hui, nous sommes à peu près 600 chercheurs pour un million d’habitants alors que la norme universelle est de 1 080 chercheurs pour un million d’habitants. La carence est donc liée à la mobilisation de ressources humaines, pas aux infrastructures. Il faut qu’on redonne confiance aux chercheurs à travers un processus de formation continue. La clef de la réussite du système national de recherche est de garantir une mobilité totale des chercheurs. Grâce à cela nous pouvons créer la compétitivité », a‑t‑il relevé.

http://www.tsa-algerie.com/divers/deux-cents-chercheurs-algeriens-sont-revenus-au-pays-en-2011_18991.html

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Message  Admin Dim 15 Jan - 22:38

Plus de détails sur l'article précédent:

Algérie – Un responsable décèle une amorce de retour des cerveaux

La fuite des cerveaux a coûté à l’Algérie plus de 40 millions de dollars pour uniquement la courte période entre 1994 et 2006 durant laquelle 71.000 chercheurs et cadres ont quitté le pays. Le préjudice s’aggrave avec le non-retour des étudiants partis récemment poursuivre leurs études à l’étranger. Pourtant, le directeur de la recherche scientifique à l’Enseignement supérieur croit déceler, avec l’amélioration des revenus, une amorce de retour. Et, pour ceux qui ne viennent pas, une volonté d’interagir avec les chercheurs restés dans le pays.

Selon les dernières statistiques, 50 % de ces étudiants préfèrent rester dans les pays d’accueil. Ils sont au nombre de 25.000. Malgré ce constat, Abdelhafid Aourag, directeur de la recherche scientifique au ministère de l’Enseignement supérieur, appelle à « positiver » la fuite des cerveaux. «Avoir autant de chercheurs algériens à l’étranger, c’est avoir autant de capacités potentielles qui pourront être mises au service de l’Algérie. Des mécanismes ont été mis en place pour permettre à ces chercheurs d’interagir avec leurs collègues en Algérie. Les rémunérations sont encourageantes. Le voyage et hébergement des chercheurs qui viennent de l’étranger sont pris en charge par l’Etat pourvu qu’ils nous apportent un plus avec un projet structurant », a déclaré dimanche Abdelhafid Aourag à la chaîne III de la radio algérienne. Selon lui, 200 chercheurs algériens vivant à l’étranger sont revenus au pays en 2011. Il a cité le cas de deux spécialistes en biologie moléculaire et en génomique recrutés par les universités de Saïda et de Chlef. « Nous essayons dans la mesure du possible d’assurer le même environnement au chercheur qu’il a déjà à l’étranger. Il y a une année, la situation de l’enseignant n’était pas reluisante. Personne n’était tenté par le retour. Aujourd’hui, les conditions ont changé. Ce processus de mobilité va se renverser dans les prochaines années. Les chercheurs qui reviennent seront plus nombreux que ceux qui partent », a-t-il expliqué. Il reste que la recherche scientifique en Algérie est toujours aussi faible malgré un plan quinquennal doté de 100 milliards, qui s’achève fin 2012, devant financer 34 programmes nationaux. « Aujourd’hui, il existe 600 chercheurs pour un million d’habitants alors que la norme universelle est de 1080 chercheurs pour un million d’habitants. La carence est liée à la mobilisation de ressources humaines. Il faut redonner confiance aux chercheurs à travers un processus de formation continue.

Garantir la mobilité totale des chercheurs

La clef de la réussite du système national de recherche est de garantir une mobilité totale des chercheurs. Cela permet de créer de la compétitivité », a-t-il noté. D’après lui, le système LMD peut être le levier du développement technologique du pays. « Auparavant, nous fonctionnons avec deux paliers dans le processus de post graduation, le magister et le doctorat. C’est ce système qui a induit la médiocrité dans l’université algérienne. Nous allons former des universitaires pour la recherche. Le marché national va être pourvu de diplômés de haut niveau. Tous les doctorants du LMD vont être recrutés pour le système national de la recherche scientifique (…) Lors de la prochaine rentrée, des pôles d’excellence universitaire seront lancés. Cela va nous permettre de savoir quelle université sera apte à s’adapter », a-t-il noté. Certaines disciplines sont, d’après Abdedlhafid Aourag, plus évoluées que d’autres. Ainsi, les sciences des matériaux est-elle la discipline phare en Algérie, classée numéro 1 en Afrique. « Si nous devons investir, on le fera dans ce créneau. La chimie, la physique, les mathématiques, l’informatique, l’ingénierie sont des disciplines émergentes en Afrique. Nous avons 1990 enseignants en physique à l’échelle nationale qui assurent 30 % de la production scientifique nationale. La qualité de la ressource humaine dans cette discipline est d’un niveau international (…) L’Etat algérien doit investir au maximum sur ces disciplines pour que l’Algérie devienne un pôle d’excellence. », a-t-il conseille. Le salut de l’Algérie peut venir, d’après ses dires, du développement de la physique. « Nous avons les moyens de produire les meilleurs physiciens à l’échelle internationale », a-t-il appuyé. La décomposition de l’université algérienne a eu, selon lui, un impact négatif sur le classement international des universités. Il a estimé que l’université d’Alger peut se placer en deuxième position africaine après celle du Caire, si les sciences humaines et les sciences techniques sont regroupées dans un même endroit. « Cela permet de cumuler les résultats des université, unifier l’adresse et monter en terme de classement international. Il faut dans le futur publier les travaux en nom d’un grande université, l’université d’Alger, pour se hisser au niveau du classement », a-t-il expliqué.

http://maghrebemergent.info/politiques-publiques/64-algerie/7874-algerie-un-responsable-a-lenseignement-superieur-decele-une-amorce-de-retour-des-cerveaux.html

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Message  Admin Lun 16 Jan - 15:45

Seuls 200 chercheurs ont préféré revenir en Algérie : 8000 algériens font le bonheur des laboratoires étrangers

Le directeur général de la recherche scientifique (Abdelhafid Aoureg) a minimisé le nombre de chercheurs algériens exerçant à l'étranger en affirmant qu'ils ne sont que 8000 et le chiffre de 66 000 avancé par les autorités françaises englobe, selon lui, tous les cadres qui travaillent dans divers secteurs.

http://lemaghrebdz.com/lire.php?id=42058

Toujours le même article mais plus complet :


(...)
Avec le regroupement des université et le rétablissement et l’unification des adresses concernant l’université de l’USTHB qui publiait avec 29 établissements différents, nos universités réoccupent des places importantes sur les deux plans continental et international
(...)
M. Aouarg fait remarquer que les 1.990 enseignants en physique sur 42.000 à l’échelle nationale produisent 30% de la production nationale toutes disciplines confondues. Ainsi 3 chercheurs dans cette discipline produisent une publication, alors que dans d’autres disciplines 40 chercheurs produisent une publication. Ce qui traduit la qualité de la ressource humaine en physique qui est d’un niveau international.
(...)
, M. Aourag précise que le chiffre comptabilisé par le secteur relève des chercheurs qui se trouvent uniquement au niveau des universités étrangères et des institutions de recherche et qui ne dépasse pas les 8.000 chercheurs.
« Sur ces 8.000, on compte 2.000 collaborateurs qui sont associés à divers projets structures, telle que la fabrication de scanners à l’université de Mostaganem.
(...)
Entre 70.000 et 250.000 DA mensuellement, tels sont les nouveaux salaires fixés pour les chercheurs et qui seront versés à partir de ce mois de janvier 2012. Le chercheur débutant percevra un salaire de 70.000 DA alors que la rémunération d’un directeur de recherche pourra atteindre jusqu’à 250.000 DA.
(...)
Pour rappel, l’Algérie compte 1.500 chercheurs permanents et 20.000 enseignants chercheurs ainsi que 780 laboratoires de recherche. M. Aourag a signalé que ce n’est pas le nombre de laboratoires qui importe, mais la mobilisation des chercheurs. Dans ce secteur, l’Algérie demeure très en retard (...)

http://www.elmoudjahid.com/fr/actualites/22450

Voici un article qui parle des publications des universités africaines (qui, ne l'oublions pas, regroupe les pays les moins développés de la planète). Cherchez la place de l'Algérie...

Recherches scientifiques: l’Afrique avance mais ne fait pas plus que la petite Hollande 30-04-2010

Environ 27 600 études publiées en dix ans par les universités africaines. Six pays de l’Afrique du Nord font plus que 30 pays de l’Afrique centrale. Championne du continent, l’Afrique du Sud dépasse largement l’Egypte et le Nigeria.
L’Afrique du Sud, l’Egypte et le Nigeria sont les pays africains qui ont publié le plus de recherches scientifiques dans les revues spécialisées, indique un rapport de Thomson Reuter paru à la mi-avril. Selon ce document, l’Afrique centrale qui compte 30 pays, s’étendant de la ligne saharienne aux limites de l’Afrique australe, n’a publié que 7 100 recherches en dix ans. Bien loin des 6 pays de l’Afrique du Nord qui ont publiés 10 500 recherches sur la période. Pour leur part, les 14 pays de l’Afrique australe ont publié 10 000 recherches scientifiques. En tout, le continent a publié 27 600 recherches, soit le même score que la petite Hollande (27 000 études).

Ce bilan de Thomson Reuters prend en compte les publications scientifiques dans 21 disciplines couvrant tous les domaines de la science, de l’agriculture, de l’environnement, de la pharmacie et de l’espace. L’Afrique du Sud remporte la première place dans 15 disciplines, l’Egypte en gagne deux (Chimie et ingénierie) et le Nigeria, une (agronomie). Le spécialiste canadien conclut sur une note positive, mettant en exergue une avancée incontestable de l’Afrique. Par exemple, le score global de l’Afrique du Sud (1,55) dépasse celui de la Russie (1,17 points), mais reste loin de la Chine (5,42 points).

Portion congrue pour les pays francophones
Seuls deux pays francophones figurent dans ce classement. Il s’agit du Maroc et de la Tunisie qui décrochent deux accessits. Le Maroc est classé deuxième en mathématiques et son voisin, deuxième dans les matériaux. Ce classement qui prend en compte les publications parues dans les revues scientifiques reste l’un des indicateurs de performances des 225 universités répertoriées sur le continent.
http://www.lesafriques.com/actualite/recherches-scientifiques-l-afrique-avance-mais-ne-fait-pas-plus-que-la-petite-hol.html?Itemid=89?article=24079

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Message  Admin Lun 16 Jan - 16:04

Recherche scientifique en Algérie : Organisation en 2012 des états généraux

Des états généraux sur la recherche scientifique en Algérie seront organisés en 2012, a annoncé jeudi à Bou Ismail, M. Hafidh Aourag, directeur général de la Recherche scientifique et du Développement technologique (DGRSDT) au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique.

M. Aourag, qui a fait part de cet événement lors des travaux de la session ordinaire du conseil national du Syndicat national des chercheurs permanents (SNCP) qui se tient à l’Unité de développement des équipements solaires (UDES) de Bou Ismail, a précisé que celui-ci servira à «faire le point sur la situation en matière de recherche scientifique en Algérie». Il a estimé, en ce sens, que le problème auquel fait notamment face actuellement la recherche scien- tifique réside dans «la faiblesse de la qualification des chercheurs et des gestionnaires des centres et divisions de recher-che, dont 80% ne possèdent pas de doctorats".
M. Aourag a souligné qu'il sera remédié à cette situation à partir de 2012, par «la mise en place de critères de compétitivité élevés (avoir un doctorat au minimum) et par le développement de formations maison, c'est-à-dire non diplômantes pour empêcher la fuite des cerveaux. Selon lui, une réflexion est, par ailleurs, en cours pour trouver des solutions à tous les problèmes recensés, dont le plus urgent est de «veiller à axer les efforts sur le développement technologique qui reste le point faible de notre système et le handicap principal», a-t-il dit. Illustrant ses propos, M. Aourag a souligné que l'Algérie ne possède que 480 chercheurs pour un million d'habitants alors que la moyen-ne mondiale est de 1 080 chercheurs pour un million.
«L’Algérie qui se targue d’avoir 20.000 chercheurs (enseignants et permanents) est très loin des standards internationaux, même si elle occupe d’excellentes positions en Afri-que dans certains domaines, dont la 3e place en physique- chimie, la 2e en sciences des matériaux et la 4e en sciences de la terre, en mathématiques, en informatique et engineering», a-t-il observé. «Le défi que notre pays doit relever est celui de la ressource humaine qui peut transformer l’idée en innovation», a-t-il ajouté, expliquant que le système LMD et la création de grandes écoles spécialisées ont été programmés dans cet esprit de qualification et de préparation de la ressource humaine pour travailler et gérer les 100 centres de recherche qui seront réalisés d’ici à 2014».

http://www.elmoudjahid.com/fr/actualites/20379

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Message  Admin Lun 16 Jan - 16:13

Recherche scientifique : L’Algérie table sur 60.000 chercheurs en 2020
• Le secteur bénéficie d’un budget de 100 milliards de dinars pour la période 2008-2013. (PUBLIE LE : 08-11-2011)

Le système national de documentation en ligne a ouvert plus de 60.000 accès aux universitaires.

L’Algérie, qui a été classé au premier trimestre 2010 par l’UNESCO à la troisième place africaine en matière de recherche scientifique, après l’Afrique du Sud et l’Egypte, accorde un intérêt certain à ce domaine qui bénéficie d’un important budget de 100 milliards de dinars mobilisé pour la période allant 2008 - 2013.
Certes, les capacités nationales en matière de recherche restent encore en deçà des normes internationales qui exigent 2000 chercheurs pour un million d’habitants alors que l’Algérie ne dispose encore que de 600 chercheurs par million d’habitants, contre 4300 en France ou encore 5600 au Japon, mais faut-il souligner que le nombre de publications scientifiques ont sensiblement augmenté en 2009, l’année durant laquelle elles ont atteint les 20.000 publications.
Concernant le nombre des chercheurs algériens, le ministère de la tutelle indique que les enseignants-chercheurs ont atteint 17000 dont 1900 permanents. L’objectif est d’arriver à l’horizon 2020 à quelque 60.000 chercheurs, d’où le lancement de 34 programmes de recherche scientifique touchant divers secteurs d’activités (santé, ressources en eau, énergies renouvelables, agriculture, technologies de l’information et de la communication), conçus de manière à répondre à certaines préoccupations socioéconomiques.
Et les grandes orientations de la politique scientifique pour les prochaines années, sont clairement identifiées dans la loi programme 2008-2012 sur la recherche scientifique et le développement technologique.
Une enveloppe de 5 milliards de dinars a été dégagée pour les 34 programmes dont le financement moyen varie entre 3 et 10 millions de dinars, selon le programme avec pour objectif de réaliser 3000 projets de recherche en deux ans.
Par ailleurs, dans la série de mesures prises en vue de relancer le secteur de la recherche, l’Etat a également décidé de rétribuer l’activité de recherche depuis la signature en janvier dernier des contrats par les chercheurs inscrits aux Programmes nationaux de recherche (PNR).
«Tout chercheur disposant d’un projet PNR agréé percevra cette rétribution qui, en fonction de ses activités, pourra être reconduite ou arrêtée», a indiqué le directeur de la recherche scientifique, M. Hafid Aoureg lors de l’annonce de la signature des contrats.
Ainsi, tout chercheur hospitalo-universitaire ou enseignant chercheur participant aux programmes nationaux de recherche et dont les travaux ont été publiés peut bénéficier de la prime mensuelle allant de 45.000 DA pour le professeur à 20.000 DA pour le maître-assistant de classe B. Pour les responsables d’unités de recherche régulièrement nommés, la prime est fixée à 20.000 DA pour le directeur de l’unité et à 10.000 DA pour le chef d’équipe. Cette fourchette varie selon les diplômes, l’expérience et la compétence de chaque chercheur. Cette rétribution qui se veut «une reconnaissance de l’Etat pour l’élite du pays, ses compétences et son excellence», vient aussi «distinguer l’excellence de la médiocrité», d’où l’importance, de l’évaluation des travaux qui sera faite par les experts des comités sectoriels de manière individuelle et non pas par programme de recherche.
Et dans cette perspective d’améliorer l’environnement de la recherche nationale, un système national de documentation on line a été aussi lancé avec plus de 60.000 accès déjà ouverts aux enseignants, étudiants en master et doctorants inscrits dans les laboratoires de recherche. Le système permet aux chercheurs, grâce à un mot de passe attribué, d’accéder à toutes les bases de données à travers le monde pour pouvoir télécharger toute la documentation nécessaire à leurs travaux de recherche.
Tant d’efforts déployés en vue aussi d’améliorer le mauvais classement des universités algériennes et d’améliorer leur visibilité à l’international puisque la publication des travaux de recherches demeure un élément déterminant dans le classement des établissements universitaires.
Hamida B.

http://www.elmoudjahid.com/fr/actualites/19305

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Message  Admin Lun 16 Jan - 17:23


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Message  Admin Mar 17 Jan - 14:42

(...) L'ambassadeur de France notera, par exemple, que le nombre des étudiants algériens désirant poursuivre leur graduation universitaire en France est en moyenne de l'ordre de 5.000 demandeurs/an (pour l'année 2011, il a été enregistré le nombre de 4.831 étudiants ayant obtenu des visas long séjour), alors qu'il existe déjà en France, quelque 20.000 étudiants algériens. Il ajoute que le bilan de l'année écoulée fait état de 1.618 bourses attribuées au moment où un nombre de 270 chercheurs ont bénéficié de séjours de formation. (...)
http://www.lequotidien-oran.com/index.php?news=5163065

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Message  Admin Jeu 26 Jan - 12:53

Agence Nationale pour le Développement de la Recherche Universitaire (ANDRU) : Promouvoir la relation entre l’université et l’entreprise

Dans le cadre de ses missions, l’Agence nationale pour le développement de la recherche universitaire (ANDRU) s’est fixé l’objectif d’œuvrer pour le rapprochement entre le monde de la recherche et celui de l’industrie. En effet, force est de constater que les relations entre les établissements de recherche et les entreprises sont loin d'avoir l'ampleur qu'elles devraient dans un contexte où leur partenariat revêt une importance particulière vu la croissance de la demande de savoir et la diversification des disciplines à enseigner avec la tendance vers la professionnalisation des formations universitaires. Le partenariat université-entreprise s'inscrit dans la mission des établissements de recherche pour leur permettre d'être en symbiose avec l’environnement économique à travers des passerelles multiples allant de l'université vers l'entreprise et inversement.
Dans ce contexte, l’ANDRU a entrepris une démarche vers quelques entreprises nationales en leur proposant d’installer conjointement des commissions d’expertise afin de déterminer les axes de recherche et de cerner correctement les problématiques posées par leurs différentes activités.
Avec AGENOR, l’Agence nationale pour la distribution et la transformation de l'or et des autres métaux précieux, cette démarche a été sanctifiée par la signature d’une convention le mois de décembre 2011 par Mme Houda Imane Faraoun, directrice générale de l’Agence, et M. Madjid Cherifi, président-directeur général d’AGENOR. Les deux établissements cherchent à promouvoir et à encourager les activités de recherche scientifique et de développement technologique en mettant en route des projets de recherche appliquée sur les thèmes d’intérêt pour l’activité industrielle d’AGENOR.(...)

http://www.elmoudjahid.com/fr/actualites/22959

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